Malgré les efforts répétés pour mettre fin à la guerre en Ukraine, aucun progrès concret n’a été enregistré des deux côtés. Les discussions diplomatiques se heurtent à des divergences profondes sur les territoires occupés et les garanties de sécurité, laissant la situation militaire et politique inchangée. Cette situation se traduit aujourd’hui par le report indéfini du sommet très attendu entre les dirigeants américain et russe à Budapest.
Trump reporte sa rencontre avec Poutine
Après des jours de spéculations sur une rencontre imminente entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Budapest, le président américain a décidé de ne pas rencontrer son homologue russe dans l’immédiat. Selon un responsable américain, la Maison-Blanche ne prévoit pas de rencontre prochaine entre les deux dirigeants. Lors d’une déclaration publique mardi à la Maison-Blanche, Trump a exprimé son refus de participer à une réunion « pour rien », insistant sur la nécessité de ne pas perdre de temps dans des discussions qui ne produiraient aucun résultat concret.
Cette décision montre la prudence avec laquelle l’administration américaine aborde les négociations avec la Russie. Elle reflète également la difficulté d’avancer dans un environnement où les conflits sur le terrain ne connaissent aucune accalmie et où les enjeux géopolitiques restent élevés.
Les enjeux d’une rencontre reportée
Le report du sommet pose des questions sur la capacité des deux puissances à trouver un terrain d’entente. Même si des discussions avaient été envisagées dans les semaines à venir, la volonté de Trump de ne pas précipiter la rencontre souligne l’importance de conditions claires pour que tout dialogue soit productif.
Pour Moscou comme pour Washington, la stratégie consiste désormais à évaluer l’opportunité et le moment d’un éventuel rendez-vous, sans précipitation. Ce retard souligne la complexité des relations bilatérales et les obstacles persistants qui freinent toute avancée diplomatique, alors que la guerre en Ukraine continue de générer incertitudes et tensions.
Le report de cette rencontre rappelle que même les efforts de négociation les plus médiatisés ne garantissent pas un progrès immédiat. La prudence des dirigeants reflète une réalité : les conditions pour une discussion efficace restent difficiles à réunir, et chaque décision doit être pesée avec attention pour éviter des engagements sans résultat.




Selon l’historien Sylvain Ferreira, le sommet ne serait que reporté.
En cause, les difficultés pour assurer la sécurité pour Poutine
Toujours selon l’historien Sylvain Ferreira sur Veille Stratégique, l’explosion de la raffinerie de pétrole (russe) en Hongrie serait possiblement du fait du MI6 afin de perturber/annuler/reporter la rencontre Trump-Poutine à Budapest.
Jean
Pour info, l’économie russe est très florissante. C’est la première économie de la planète terre, très loin devant les USA et la Chine.
👏👏👏👏
Trump craint de revenir bredouille de la rencontre à Budapest. A juste titre, Putin qui a promis du temps à son armée fait traîner le choses.
Ce que l’Ukraine refuse de céder sera pris par les armes.
Il n’y a pas que ça, les économies européennes sont en passe de s’effondrer. En partie à cause des sanctions boomerang contre la Russie. Poutine attend patiemment que les « ennemis de la Russie » s’auto-détruisent
Au sortir de la guerre, l’économie russe sera plus puissante qu’au départ, un peu comme les USA en 1945.
Et l’ économie Russe?
Positif :
– Elle est devenue est s’est maintenue 4ème économie mondiale, première en Europe, en parité de pouvoir d’achat
– Le niveau de vie est passé de moyen à supérieur
– PIB, 4% de croissance en 2024, 1.5% en 2025, en baisse mais reste le plus élevé d’Europe
Problème :
– économie en surchauffe dû à l’hyper-industrialisation
– manque de main-d’oeuvre, chômage à zèro, ce qui a entraîné une forte inflation, en passe d’être maitrisée.
« Cette décision montre la prudence avec laquelle l’administration américaine aborde les négociations avec la Russie »
Trump qui attend une opportunité, c’est du jamais vu. Pour qu’un bourrin comme lui refuse de foncer la tête la première, il faut vraiment qu’il soit en difficulté. Non seulement il n’est pas en position de force mais en plus … il s’en est rendu compte.
Seul problème, la faille qu’il attend pourrait ne jamais se présenter. Et le temps joue très clairement en faveur des Russes. Poutine vient de confirmer à Guérassimov, son chef des armées, qu’il n’avait aucun impératif de temps pour atteindre les objectifs fixés.
Ca puait grave cette rencontre. Les Polonais parlaient de détourner l’avion de Poutine. Les Anglais disaient que c’était l’occasion rêvée pour une tentative d’assassinat. Bref, les occidendaux nagent en pleine hystérie.
Un délire qui ne risque pas de s’arranger avec le temps.
Les occidentaux ne se rendent même pas compte qu’assassiner Poutine déclencherait la 3ème mondiale. Et ils croient aussi qu’assassiner Poutine résoudrait tous les problèmes. Ils n’ont pas encore compris que Poutine ne décide pas seul et qu’il est le plus modéré de la bande !
D’ où avez-vous obtenu ces informations?
Ces informations proviennent de votre cerveau ?
Si oui, comme vous êtes fécond !!
Suis fécond mais n’invente rien 😉
Suffit de s’informer un peu : Jacques Baud, Sylvain Ferreira, Colonel Doug MacGregor, Xavier Moreau, Pr Jeffrey Sachs, Scott Ritter, Larry Johnson, Judge Napolitano …
Tous déclarés « complotistes » par les guignols de LCI, bien évidemment, ce qui est devenu aujourd’hui gage de qualité (sarcasme). Tous ces gens donnent les référence de leurs infos (sauf MacGregor qui ne veut pas griller ses potes du Pentagone)
Suis fécond, les autres aussi mais sans le « fé ». J’aime bien votre commentaire, le QI étant calculé sur une base statistique, plus autres se montrent stupides, plus je suis intelligent 😉