Alors qu’il participe au sommet du G20 à Johannesburg, le président français Emmanuel Macron a exposé ce samedi, ses intentions pour réorienter la relation entre la France et l’Algérie. Il a appelé à une coopération plus apaisée et pragmatique, tout en reconnaissant les nombreux défis persistants entre les deux pays, sur les plans sécuritaire, migratoire et économique.
Tensions bilatérales et gestes de confiance
Les relations entre Paris et Alger ont été marquées par de multiples épisodes de tensions et de méfiance réciproques. En avril 2025, des expulsions croisées de diplomates ont montré le climat de défiance entre Paris et Alger : l’Algérie a rappelé douze diplomates français, et la France a répondu en expulsant à son tour douze agents algériens et en rappelant son ambassadeur. Les désaccords ont également touché la coopération économique et sécuritaire, avec des blocages sur certains accords commerciaux et des divergences sur la gestion des flux migratoires. Des sujets historiques et mémoriels ont aussi pesé sur le dialogue, notamment autour de la reconnaissance des archives coloniales et de la mémoire de la guerre d’Algérie.
Dans ces situations, la récente libération de l’écrivain Boualem Sansal par le président algérien Abdelmadjid Tebboune a été perçue comme un geste concret de rapprochement. Pour Emmanuel Macron, ce pardon représente un signe tangible de progrès dans un dialogue qui a longtemps été contrarié par la méfiance et les tensions diplomatiques.
Construire une relation d’avenir basée sur le respect
Emmanuel Macron a insisté sur une approche mêlant exigence et respect mutuel pour rétablir la confiance. Selon lui, la relation franco-algérienne ne doit pas être instrumentalisée par les enjeux politiques internes, ni en France ni en Algérie. Il a rappelé qu’une rencontre bilatérale ne pourrait produire des résultats significatifs que si elle était soigneusement préparée, avec des objectifs clairs.
Le président français a affirmé vouloir bâtir une relation d’avenir apaisée, mais a souligné que de nombreux aspects nécessitent encore des corrections. Les questions économiques, la coopération sécuritaire et la gestion des flux migratoires restent des sujets sur lesquels les deux pays doivent progresser rapidement pour rétablir un partenariat équilibré.
Pour Macron, la diplomatie franco-algérienne repose sur des avancées concrètes et mesurables. Le président espère que les gestes de confiance récents, combinés à une approche structurée et exigeante, permettront de transformer progressivement les relations bilatérales et d’ouvrir de nouvelles perspectives de coopération.
@Honteux
T’inquiète, Flambi et Sarko, c’était déjà la honte.
Pas d’alternatives … c’était encore pire.
Quand je pense que j’ai voté pour ce dégénéré !
Suis Honteux
« Construire une relation d’avenir basée sur le respect »
Micron aime bien ces phrases grandiloquentes. Mais il n’a pas l’air de comprendre ce qu’elles veulent dire … comme un acteur qui joue dans une langue qu’il ne parle pas
« Construire une relation d’avenir basée sur le respect »
Sacré Micron, il y a une carrière de comique qui l’attend ! Et il a déjà un pianiste !
🤣 🤣 🤣
Au mois d’Octobre 2025, la cote de confiance du président est tombée à 11%, un reccord absolue dans la Ve République égalant le pire score de François Hollande…La résolution Onisienne No.2797 sur le Sahara Occidentale, les menaces d’une destitution par LFI, sinon des élections présidentielles en 2027, pour probablement élir un J.Bardella au premier tour…vu par le périscope d’Alger, tout ça ressemble à est une tambouille qui ne plaide pas pour un réchauffement des relations.