Le Ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts a reçu, le 26 novembre 2025 à Cotonou, une délégation de la société See at Sea Consulting & Développement. Conduite par son Président-Fondateur, Olivier-Bernard Michel, la délégation a présenté un projet de partenariat destiné à soutenir le développement du tourisme de croisière dans la zone ouest-africaine.
Depuis la reprise des activités des compagnies après la période de Covid, le tourisme de croisière enregistre une progression notable. Le Gouvernement du Bénin travaille à structurer ce segment à travers la construction d’infrastructures conformes aux normes internationales et l’amélioration de l’offre touristique. Plusieurs navires accostent désormais au Port autonome de Cotonou, ce qui confirme l’intérêt de compagnies pour la destination.
L’audience visait à examiner les possibilités de collaboration entre l’État béninois et See at Sea Consulting, en présence de cadres techniques du Ministère. À l’issue de la présentation de la délégation, le Ministre Babalola Jean Michel Hervé Abimbola a rappelé l’orientation du Gouvernement : faire du Bénin une destination de référence, en particulier dans les domaines du tourisme mémoriel et du tourisme de croisière.
Il a indiqué que le Ministère reste ouvert aux initiatives visant à renforcer cette politique publique. Les agences Bénin Tourisme et BeninTours ont reçu instruction d’appuyer les échanges liés à ce projet. See at Sea Consulting intervient notamment dans la mise en relation entre les destinations et les compagnies de croisière, ainsi que dans l’élaboration d’outils destinés à renforcer l’offre touristique.



Tourisme de croisière ??? Une très belle idée si on tient compte de la forme.
Dans le fond ; c’est très problématique à cause de l’insécurité maritime dans le Golfe de Guinée.
Encore que les Africains n’ont pas cette culture du tourisme en bateau.
Si c’est une clientèle occidentale qui est visée ; ce n’est pas gagné d’avance se basant sur la frilosité des Européens et des aprioris sur la côte occidentale.
C’est donc un projet mort-né .
Ce que je crois.
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