L’Algérie se prépare à accueillir, les 30 novembre et 1er décembre 2025, la Conférence internationale sur les crimes du colonialisme en Afrique, un événement majeur rassemblant ministres, juristes, historiens et experts venus d’Afrique, des Caraïbes et d’autres régions. Sous le thème : « Justice pour les Africains et les personnes d’ascendance africaine par les réparations », cette conférence vise à définir des mesures concrètes pour reconnaître les injustices du colonialisme et envisager des mécanismes de réparation.
Justice historique et adoption de la Déclaration d’Alger
L’un des objectifs principaux de cette rencontre est de finaliser la “Déclaration d’Alger”, destinée à établir un cadre africain pour reconnaître et qualifier les crimes du colonialisme, tout en définissant des mécanismes de réparation. Cette déclaration sera soumise à l’examen de l’Union africaine en février 2026 pour validation. Les débats se concentreront sur les conséquences humaines, culturelles, économiques et environnementales du colonialisme. Seront notamment abordés lors de cette conférence, les traumatismes transmis de génération en génération, la confiscation des terres, la destruction du patrimoine culturel et l’exploitation inégale des ressources. Les effets environnementaux, y compris certains essais nucléaires menés sur des populations africaines, feront également partie des discussions.
Ce sommet vise à établir des mécanismes concrets de restitution et de réparation, tout en renforçant la criminalisation du colonialisme. Il pourrait permettre de créer un mécanisme africain permanent de réparations, garantissant que les injustices historiques soient reconnues et que des mesures correctives soient mises en œuvre de manière durable.
Le colonialisme en Afrique : héritages et enjeux contemporains
Le colonialisme a profondément marqué le continent africain. À partir de la fin du XIXᵉ siècle, les puissances européennes se sont partagées l’Afrique, imposant des frontières artificielles et exploitant les populations et les ressources locales. Les colonies ont été soumises à des systèmes de travail forcé, à des impôts injustes et à des répressions violentes en cas de résistance. Les structures économiques mises en place favorisaient l’extraction des richesses au profit des puissances coloniales, laissant de profondes inégalités qui perdurent encore aujourd’hui. La destruction ou la spoliation du patrimoine culturel, combinée aux traumatismes sociaux et intergénérationnels, a façonné une mémoire collective marquée par les injustices.
Ces héritages seront au cœur des discussions de la conférence algérienne. L’événement mettra l’accent sur la restitution du patrimoine culturel et la préservation de la mémoire africaine, tout en explorant des voies juridiques pour consolider la reconnaissance des crimes coloniaux comme violations des droits de l’homme.
Sous la direction du président Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie qui a récemment relancé un dossier sensible sur les essais nucléaires, entend consolider la position africaine sur la justice historique et les réparations. Les participants échangeront sur la restitution des biens culturels et sur les stratégies à mettre en œuvre pour atténuer les conséquences économiques et environnementales héritées du colonialisme. Cette démarche vise à créer une réponse coordonnée à l’échelle continentale et à assurer que les générations futures puissent bénéficier d’une mémoire historique reconnue et protégée.




« Et surtout la responsabilité » de certains patronymes de la traite transatlantique qui vivent aujourd’hui encore parmi nous : Les Talon, les de Souza, les do Rego, les d’Almeida, les d’Assomption, les Demeideros, les d’Oliveira, les de Campos etc. doivent se faire petits au Bénin de nos jours. Et si par erreur monumentale ils accèdent à la magistrature suprême au Bénin et qu’ils continuent de voir nous autres Africains comme des sujets taillables et corvéables qu’ils continuent de massacrer et de jeter en prison, malheur à eux. La Révolution Panafricaine ne tolère plus les ennemis du peuple. Elle se défendra toujours avec toute la force de sa colère.
Pourquoi pas…une telle initiative !!!
Seulement pas de déclarations sélectives..et orientées
L esclavage et le colonialisme..arabo islamique
L esclavage et le colonialisme occidental….
L esclavage et le colonialisme inter africain…
Et surtout la responsabilité et la complicité de certains peuples africains.. surtout les aïeux de agadjavi..et consorts
Aziz le sultan…L esclavage et le colonialisme inter africain…
Et surtout la responsabilité et la complicité de certains peuples africains… tels les peulhs qui vendaient leurs enfants …ainsi Aziz ko maccuɗo fulɓe🥰😎🤓