Le président du Front des Organisations Nationales contre la Corruption (FONAC), Jean-Baptiste Elias, a participé ce week-end au symposium annuel de l’Institut des Artisans de Justice et de Paix (IAJP). Les discussions ont porté sur le thème : « Élections pacifiques, alternance politique et cohésion sociale : gages de l’unité nationale ». À cette occasion, le responsable du FONAC s’est exprimé sur la question de la création d’un Sénat au Bénin, sujet qui suscite de nombreuses réactions dans le débat public.
Au cours de son intervention, Jean-Baptiste Elias a indiqué que le Bénin, en tant qu’État souverain, peut choisir librement ses institutions. Il estime toutefois qu’un pays doit veiller à l’adéquation entre le nom d’un organe et son contenu. Pour illustrer son argument, il a affirmé avoir examiné la situation institutionnelle de 188 pays, relevant que « 107 n’ont pas de Sénat ». Il a invité le public à vérifier ces données, rappelant qu’il ne s’exprime jamais sans preuves.
Le président du FONAC a ensuite évoqué le lien entre gouvernance, lutte contre la corruption et organisation institutionnelle. Il cite les données de Transparency International, et a rappelé que le Cap-Vert, présenté comme le pays le moins corrompu de l’espace ouest-africain, ne dispose pas de Sénat. Il a étendu son argumentation à plusieurs pays africains mieux classés que le Bénin en matière de lutte contre la corruption : les Seychelles, l’île Maurice et le Botswana, qui ne disposent pas non plus d’un Sénat. Selon lui, certains de ces États ont créé d’autres formes d’instances, à l’image du « Conseil des chefs » au Botswana.
Jean-Baptiste Elias a également mentionné des exemples en Afrique du Nord, citant le Maroc, qui a opté pour une structure institutionnelle différente, ou encore la Tunisie. À travers ces comparaisons, il invite à une réflexion sur la pertinence du choix du terme « Sénat » dans le contexte béninois. IL estime que ce nom renvoie à un modèle précis, issu d’une tradition institutionnelle particulière. Le responsable du FONAC a annoncé qu’une prise de position officielle de l’organisation sur l’actualité nationale sera rendue publique dans les prochains jours.




La dérive autoritaire de Patrice Talon qui ne veut pas lâcher le pouvoir, même après ses deux mandats ne doit pas être prise à la légère.
La révision constitutionnelle n’est ni l’instauration d’un sénat, encore moins la volonté d’équilibrer le pouvoir exécutif.
Il peut avoir des membres de droit, là n’est pas le problème. Mais toute cette assemblée soit désignée, est un problème démocratique. Même les pouvoirs exorbitants de club de jouisseurs de l’argent du contribuable est inacceptable.
Nous assistons à la volonté de concervation du pouvoir économique et politique par un seul homme qui se croit tout permis.
C’est le lieu d’interpeller Djogbénou, Sossa Dorothé, et d’autres complices comme Arifari Bako, Victor Topanou et bien d’autres, qui comprennent très bien la gravité de ce qui se passe.
Nous sommes en rupture avec la démocratie. L’histoire ne leur pardonnera jamais leur complicité.
Sans ces personnes, Patrice Talon ne peut jamais venir à ces extrémités.
La lutte va continuer jusqu’à l’échec des prédateurs.
Sonagnon, il y a quelque chose qui tord votre cervelle ces temps -ci…vous apparaissez soya et guinan et vous dites soyamment et guinan_ment:
« La dérive autoritaire de Patrice Talon qui ne veut pas lâcher le pouvoir, même après ses deux mandats ne doit pas être prise à la légère… »
Talon n’est plus candidat donc il lâche tout…ce n’est pas par le Sénat qu’il va avoir les leviers décisionnels….donc arrête vite tes élucubrations et manipulations…même tes braves supporters « les JeunesPourFauxfauxSonagnon » t’ont rejeté…va surveiller les magasins…cher DRH gbara gbara
Sonagnon le gbara gbara, tu penses que c’est par le Sénat qu’on a les leviers principaux pour contrôler un pays? Talon organise les élections et Sonagnon retiens bien…il n’est pas candidat…terminé…il part pour des actions d’aides altruistes …il pourra te recruter à l’occasion
Vous nous prenez pour des cons ???
Dans quel pays du monde un sénat avec des membres désignés, peut s’auto saisir des lois votées par des députés élus u suffrage universel???
Et enlever les droits civiques d’un citoyen, c’est suffisamment grave pour accepter une telle chose.
Il n’y a plus de tribunaux pour ça au Bénin ???
La configuration du prochain sénat sera en majorité des hommes de main de Patrice Talon. C’est une volonté de confiscation du pouvoir pour préserver ses intérêts économiques acquis pour abus.
Le Bénin n’a pas besoin d’un tel Sénat.
Une cour constitutionnelle libre et professionnelle est largement suffisante.
Que Patrice Talon Colle la paix aux béninois, nous l’avons assez vu et entendu.
Encore que c’est à lui que revient le choix des membres de cette assemblée en intégralité puisqu’il tendra un complément de liste à l’autre mouton de Vlavonou.
Pour faire genre.
Notre pays est tombé très bas.
Cherchez l’erreur
@verges plombier
Les commissions que tu touchais en tant que démarcheur politique de OB, et que tu présentais comme création de la richesse étaient quoi, au point de qualifier des gens de jouisseurs de la République aujourd’hui??
Ton derrière est dehors et ça sent😂😂😂
Monsieur Elias n’a pas à se plaindre. Pas lui ; puisque lui aussi est un jouisseur de la République avec son machin de lutte contre la corruption.
L’autre avocat Migan lui a damné le pion en obtenant ce strapontin officiellement avec une prise en charge juteuse ( privilèges du trésor public) .
Ce pays est doux pour le clan des Siciliens.
N’oubliez pas que monsieur Elias et quelques privilégiés ce sont partagés 150 briques la dernière fois pour un prétendu Audit de la liste électorale.
Cherchez l’erreur
Elias lui a pu parler, mais toi Me Jacques Vergès tu es toujours derrière ton clavier de broutage…agou bo tchon déssou agbon wè na kpéwé…trop joli
Jacques Vergès est un éternel fauché…toujours en train de serpenter
Encore que derrière ce clavier en lieu et place de broutage ; je crée la richesse .
L’exploit est que je n’ai émargé ne serait-ce une seule fois au trésor public de ce pays.
Mon nom n’existe pas dans les livres de ceux qui vivent au crochet du trésor public. Ni à la fonction publique ni parmi les carriéristes politiciens de mon pays.
Cherchez l’erreur.
Notre ami Élias parle pour ne rien dire. Des exemples bidons qui n’ont rien de comparable au cas particulier de notre pays.
S’il remet à demain le point de vue de son organisation ; c’est juste pour ne pas se mettre en porte à faux avec le clan mafieux.
Comprenez donc qu’il lorgne lui aussi une place dans ce Sénat de honte.
Cherchez l’erreur
Si tu as des couill.es pas molles du tout , qui appelles-tu ….. le clan mafieux?