Après plusieurs jours de tractations intenses entre Washington, Kiev et les capitales européennes, Moscou a finalement pris position sur le plan de paix américain pour l’Ukraine. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, s’est exprimé ce mardi à l’issue d’une réunion conjointe des ministères des Affaires étrangères de Russie et de Biélorussie.
Selon Tass, la Russie confirme avoir reçu la proposition élaborée par l’administration Trump et se dit disposée à examiner les formulations qu’elle contient. Toutefois, Moscou pose une condition préalable : obtenir une version du document ayant fait l’objet d’un accord entre les États-Unis, l’Ukraine et les partenaires européens.
Lavrov critique l’Europe et Macron sur le dossier ukrainien
Le ministre russe des Affaires étrangères n’a pas épargné les Européens dans ses déclarations. Selon lui, l’Occident a méthodiquement compromis les avancées réalisées sur le dossier ukrainien au fil des années. Sergueï Lavrov estime que l’Europe a eu de nombreuses occasions de contribuer à résoudre ce conflit, mais qu’elle n’a pas su les saisir.
Le président français Emmanuel Macron a fait l’objet de critiques particulièrement acerbes. Le chef de la diplomatie russe a qualifié ses récentes déclarations concernant l’Ukraine de simples « rêves » sans rapport avec la réalité du règlement du conflit.
Le plan Trump en 28 points face aux amendements de Kiev et de ses alliés
Ces déclarations interviennent alors que le plan américain en 28 points, présenté le 20 novembre par l’envoyé spécial Steve Witkoff, fait l’objet d’intenses négociations. Le document initial prévoyait notamment la reconnaissance de facto de la Crimée, de Louhansk et de Donetsk comme territoires russes, ainsi qu’un plafonnement des forces armées ukrainiennes et l’abandon par Kiev de ses ambitions d’adhésion à l’OTAN. Face à ces exigences, l’Ukraine et ses partenaires européens — Royaume-Uni, France et Allemagne en tête — ont élaboré une contre-proposition modifiant plusieurs dispositions jugées trop favorables à Moscou. Les pourparlers de Genève du 23 novembre ont permis de réduire le texte à 19 points, les questions les plus sensibles restant à trancher directement entre les présidents Donald Trump et Volodymyr Zelensky.
L’attente exprimée par Sergueï Lavrov d’une version consolidée du plan suggère que Moscou entend négocier sur la base d’un texte définitif plutôt que sur un document encore en cours d’élaboration. Cette position pourrait prolonger les délais initialement envisagés par Washington, qui avait fixé la date limite de Thanksgiving pour parvenir à un accord-cadre avec Kiev.




Le plan des russophobes rabiques eurocrates comme Micron est de saboter Trump en attendant le retour des néocons US au pouvoir. D’ici là, ces crétins se préparent à la guerre contre la Russie pour dans 3 à 5 ans. Complètement frappés.
Espérons qu’ils auront pris possession de leurs nouveaux appartements au fond des poubelles de l’Histoire d’ici là
« Les atermoiements des occidentaux et des USA feront qu’ils se lèveront un matin en constatant la prise totale par les Russes de l’Ukraine. »
Ce ne sont pas des atermoiements. C’est de l’obstruction systématique. Pour ces russophobes rabiques, seule la défaite de la Russie est acceptable. Depuis le départ, ils utilisent des tactiques qui donnent le résultat inverse de celui recherché. Et, effectivement, ils se lèveront un matin en constatant la prise totale de l’est de l’Ukraine par les Russes. A mon avis, ils veulent s’arrêter au Dniepr.
Un jeu de ping-pong qui n’augure de rien de bon .
Les atermoiements des occidentaux et des USA feront qu’ils se lèveront un matin en constatant la prise totale par les Russes de l’Ukraine.
Cette probabilité étant très élevée dans les mois ou années à venir.
N’oubliez pas que la Russie mène une guerre d’usure à l’Ukraine.
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