Le Kremlin a qualifié d’« illusoires » les espoirs européens et ukrainiens d’une victoire militaire contre la Russie. Pour Moscou, l’évolution des combats prouve que la perspective d’un succès ukrainien s’éloigne, malgré le soutien occidental et la résilience affichée de Kyiv.
Moscou dénonce une « conviction erronée » des Européens
Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a affirmé que les Européens persistent à croire que Kyiv peut encore « défendre ses intérêts par les armes ». Selon lui, cette confiance ne repose sur rien de tangible : les lignes de front, dit-il, montrent au contraire que les forces russes conservent l’avantage. Moscou considère que la guerre ne prendra fin que lorsque « tous les objectifs initiaux » fixés par la Russie auront été atteints.
Pour le pouvoir russe, ces objectifs restent inchangés : sécuriser les territoires déjà conquis, neutraliser l’armée ukrainienne et garantir ce qu’il présente comme la protection de la population russophone dans les zones sous contrôle. Cette lecture du conflit s’oppose frontalement à celle de Kyiv et de ses alliés, qui insistent sur la légitimité d’une défense nationale face à une offensive armée.
Un front sous pression et une situation qui se dégrade pour Kyiv
Sur le terrain, les forces ukrainiennes continuent de subir une pression accrue dans plusieurs régions, notamment à Pokrovsk, dans le Donbass, où les troupes russes ont récemment progressé après de violents affrontements. À Zaporizhzhia, plusieurs villages ont été abandonnés par les soldats ukrainiens à la suite d’intenses bombardements, tandis que des frappes russes visent désormais les infrastructures énergétiques pour affaiblir le pays à l’approche de l’hiver.
Selon une analyse croisée de l’Institut pour l’étude de la guerre (ISW) et du projet Critical Threats, la Russie contrôle totalement ou partiellement environ 19 % du territoire ukrainien. Cette proportion, relativement stable depuis plusieurs mois, témoigne d’un front qui s’enlise mais où Kyiv perd peu à peu des positions tactiques importantes.
Malgré les discours d’unité et la poursuite des livraisons d’armes occidentales, l’écart entre les ambitions politiques et la réalité militaire semble se creuser. Tandis que Moscou parle de « réalisme », Kyiv invoque la nécessité de résister à tout prix. Entre ces deux logiques inconciliables, la guerre s’installe dans la durée, laissant présager une issue plus complexe que la simple victoire de l’un ou la reddition de l’autre.




@JACQUES CORRADI
Les Russes sont entrés en Ukraine avec 125.000 hommes !
Tu crois vraiment que c’est assez pour régler ça en 3 trois jours, pauvre cloche ?
@JACQUES CORRADI
Désolé bonhomme mais si tu trouves une seule preuve que Poutine a dit ça, je te paie ton poids en bananes plantin !
Ces fameux trois jours ont été annoncé par le général américain Milley (CEMA US). Les merdias ont repris l’expression et l’ont attribuée faussement à Poutine
Maintenant, si tu veux continuer à te vautrer dans ton ignorance, ça me va très bien. Le QI étant calculé sur une base statistique, plus tu es c** ‘plus je suis intelligent. Alors merci pour ta participation …
Poutine avec ses géniaux experts avaient décidé que l,invasion de l,Ukraine était une affaire de 3 jours…..il y aura bientôt 5 ans🤣🤣🤣🤣🤣
@BLOB
« ils reprendront Odessa »
Justement, les Anglais poussent Zelensky à s’accrocher parce qu’il veulent absolument garder Odessa qu’ils ont en partie « rachetée ». Ils veulent en faire quelque chose comme Gibraltar.
TOUS les experts militaires (à l’exception des bouffons de LCI) disent que c’est plié depuis longtemps.
Moscou a choisi une guerre d’usure. Ca prendra le temps que ça prendra, c’est pas leur problème. L’aide militaire européenne affaiblit considérablement l’Europe. Trump et Poutine ont la même attente, que Starmer, Macron, Merz, etc soient dégagés du pouvoir.
Ce crétin de Zelensky refuse de capituler, les Russes s’en foutent, ils continuent à aplatir la courbe démographique de l’Ukraine et avec un peu de chance, ils reprendront Odessa, ville russe créée par la Russie impériale.