Les performances du régime en place ont été mises en exergue par Chantal Ayi, questeur à l’Assemblée nationale dans un contexte où son collègue député Basile Léon Ahossi estime qu’il reste assez d’efforts pour que tout soit rose notamment en ce qui concernent l’éducation à la base et au secondaire.
Le vote favorable exprimé par l’honorable Chantal Ayi, questeur du Parlement ; n’est pas neutre. Il résulte d’un choix responsable à en croire son explication de vote dans une vision d’agir contre les discours faciles. Une mesure de réponses adéquates à la logique de critique sans approche de solutions ou propositions fiables. D’où le bon sens de son vote favorable à la loi de finances traduisant ainsi l’expression d’un soutien à système politique qui privilégie l’insertion socio-économique et professionnelle de plus de mille jeunes sans occulter la possibilité de recrutement de plus de trente mille personnes au niveau de GDIZ. Des atouts considérables et des résultats positifs qui donnent de l’espoir dans la détermination pour la continuité.
Une manière de voir les choses mais qui n’est pas du goût de l’honorable Léon Basile Ahossi, deuxième vice-président de l’Assemblée nationale. Une position justifiée par la nature de cette loi de finances qu’il qualifie de transition en raison de la mutation à la tête de l’État juste après les élections présidentielles de 2026. Ce qui conduira au vote d’une loi de finances rectificative sur demande du nouveau président de la République. Ce processus devrait aboutir à l’adoption d’une loi de finances rectificative, sollicitée par le nouveau président de la République. Pour cette raison, l’honorable Ahossi juge excessifs les éloges adressés à la loi de finances votée. Il maintient ses réserves, affirmant que la situation est loin d’être pleinement satisfaisante.
En la matière, il indique qu’il reste beaucoup d’efforts à déployer pour une satisfaction et un épanouissement des populations dans un contexte où des changements ont été notés pas comme ce qu’on tente de faire croire à l’opinion. A titre d’exemple, il met l’accent sur la situation au niveau de l’enseignement à la base et au secondaire en insistant sur la qualité des infrastructures qui laissent à désirer. Le président Ahossi a quand-même félicité son collègue Aké Natondé pour sa déclaration à la tribune de l’institution mettant l’accent sur des faits à exploiter pour la rédaction du discours sur l’état de la nation en vue.
