Alphonse Houngbandan, candidat du parti Les Démocrates aux législatives du 11 janvier 2026, a été interpellé le dimanche 30 novembre avant d’être placé en garde à vue à la Brigade économique et financière. Selon les informations disponibles, il a été conduit devant les enquêteurs avec l’un de ses proches.
Candidat en 5ᵉ position sur la liste du parti LD dans la 5ᵉ circonscription électorale regroupant Allada, Kpomassè, Toffo, Ouidah et Tori-Bossito, il est entendu dans le cadre de plusieurs dossiers en cours d’examen. Le quotidien Les 4 Vérités indique que les procédures trouvent leur origine dans la gestion de la Coopérative Agricole Rurale d’Agbotagon, structure qu’il préside. Des membres de la coopérative contestent le mode de gestion qu’ils jugent « solitaire » et « opaque ».
Plusieurs plaintes ont été déposées par ces adhérents. Par ailleurs, des accusations de coups et blessures impliquant certains collaborateurs d’Alphonse Houngbandan figurent également dans le dossier étudié par les enquêteurs. La BEF poursuit les démarches nécessaires afin d’établir les responsabilités et d’éclairer l’ensemble des faits dans un contexte marqué par la période préélectorale.



Si par un coup du destin..le destin de ce pays me soit confié…je vais procéder à l elimination physique massive et systématique d au moins 60 pour cent de l élite qui ont occupé des responsabilités depuis le 26 octobre 1972.. jusqu’à aujourd’hui..
Ce sera un nettoyage au lance flammes..de tous ceux qui ont fait du tort à autrui impunément..
A tel point..dans 1000 ans.. personne n osera porter prejudice a notre pays
Hahahaha vous êtes bien radical mon cher, même si vos propos sont drôles et lourds de sens, abstenons nous d’en tenir de tels à l’heure où ce pays vascille vers une Dictature qui ne dit pas son nom. C’est dommage mais bon…
Un peu à la Rawlings
Suite à plusieurs plaintes et la BEF le met en garde à vue afin d’établir les responsabilités ???
Plainte étant synonyme de culpabilité.
Un exemple type de l’immixtion de la BEF dans les procédures judiciaires dans notre pays.
La BEF étant au-dessus des tribunaux dans notre pays.
Encore que le monsieur venait de passer devant un juge du tribunal d’Allada et remis en liberté pour comparaître à nouveau le 15 Décembre de cette année.
Il était attendu à sa sortie du tribunal par les policiers de la BEF .
Une méthode de voyou de la BEF qui se croit tout permis dans notre pays.
Jusqu’à quand ???
Cherchez l’erreur
Je ne vois pas ce qui t étonne dans le fonctionnement du système judiciaire dans ce pays
Les gens me prennent pour un fou.. lorsque je préconise les mesures radicales.. indispensables.. dissuasives pour rebâtir ce pays..sur de nouvelles bases
Hélas.. nous subissons les avatars..de la conférence nationale.. qui n a pas demandé des comptes aux prpbistes.. tortionnaires
Les tawes..sinjaloun..gomina..orou Samson..babalao.zinzindohoue..ont rendu compte à ce qui