Après quelques jours de détention, Natou Pedro Sakombi, ancienne compagne de l’activiste Kemi Seba, a été libérée ce vendredi 26 décembre 2025. La ressortissante belge avait été arrêtée le 22 décembre 2025 dans le cadre de l’enquête sur la tentative de coup d’État survenue le 7 décembre. Son dossier reste suivi par la justice béninoise, avec une convocation officielle qui maintient sa présence sous contrôle judiciaire.
Procédure judiciaire et accusations contre Natou Pedro Sakombi
Trois accusations principales pèsent sur Natou Pedro Sakombi : blanchiment d’argent, fraude fiscale et contrebande, selon son conseil juridique, Me Cire Clédor Ly cité par Bip Radio. Sa présentation devant la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme a marqué la fin de sa détention provisoire, mais l’enquête se poursuit. Les autorités continuent d’examiner les éventuelles relations entre Natou et d’autres personnes impliquées dans la tentative de déstabilisation.
Réactions et soutien autour de sa libération
La nouvelle de sa remise en liberté a été partagée par Kemi Seba sur ses réseaux sociaux. Il y a salué le courage de Natou, mère de ses deux enfants, et a exprimé sa reconnaissance envers les avocats qui ont suivi le dossier, malgré les pressions et menaces.
Le contraire de sa libération serait étonnant.
Me Cire Cledor Ly , c’est du lourd. Le meilleur procédurier de l’Afrique de l’ouest qui a pillon sur rue à la CPI à la Haye.
Ça n’a pas échappé aux tenants d’une justice aux ordres dans notre pays.
Ce sont des considérations qui ont été à la faveur de la prévenue.
Les accusations contre cette dame que nous ne connaissons pas encore moins son ex époux dont nous ne partageons point l’idéologie politique ; sont juste fantaisistes.
Le degré zéro de la manipulation politique et de règlements de comptes.
Cherchez l’erreur
Soulignons que la contribution du professeur Barnabé Gbago avocat au barreau de Cotonou n’a pas été du reste.
La justice de notre pays retrouvera sa noblesse.
J’en suis convaincu.
« pignon sur rue »
Trouvez l’erreur