Moins d’une journée après la tentative de coup d’État du dimanche 7 décembre, plusieurs partis politiques béninois se sont réunis lundi 8 décembre à Cotonou pour exprimer une position commune. Mouvance présidentielle et opposition se sont retrouvées à la place Bulgarie pour condamner la prise de pouvoir par la force et réaffirmer leur attachement aux institutions démocratiques.
À l’initiative de différentes formations, responsables, militants et cadres de partis traditionnellement adversaires ont pris la parole pour rappeler la nécessité de préserver la stabilité du pays. L’Union progressiste le Renouveau (UPR), le Bloc républicain (BR) et les Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) ont délivré un message convergent : la défense de la République dans un contexte de forte tension.
Au nom de l’UP Le Renouveau, Gérard Gbénonchi a indiqué que la direction exécutive nationale s’était réunie en session extraordinaire pour analyser la situation après la mutinerie menée par des éléments des forces de défense et de sécurité. Il a insisté sur « la condamnation de toute velléité de déstabilisation des institutions nationales », tout en réaffirmant l’attachement du parti « à la légalité constitutionnelle, à l’ordre républicain et à la continuité de l’État ». Il a rappelé que cet épisode intervient plus d’un demi-siècle après les événements de 1972, estimant que cette tentative est « aux antipodes des ambitions du pays ». Il a également salué la vigilance des autorités et appelé à des enquêtes rapides pour situer les responsabilités.
La FCBE a adopté la même position. Son représentant, Ruffin Nansounon, a décrit la situation comme « d’une extrême gravité » et affirmé que l’objectif des mutins était de remettre en cause un acquis essentiel : la démocratie issue de la Conférence nationale de 1990. Il a rappelé l’engagement des forces armées à se tenir à l’écart du jeu politique, félicité les militaires restés fidèles à cet engagement et rendu hommage aux soldats tombés. Il a demandé que la loi s’applique « à tous les auteurs et complices ».
Pour le BR, le député Assan Séibou a évoqué les risques que représentait une prise de pouvoir par la force et décrit le scénario d’une rupture avec la vie politique normale. « Ces gens voulaient envoyer le pays dans le décor », a-t-il déclaré, saluant la préservation des institutions et exprimant sa gratitude envers le président Patrice Talon.
Joseph Djogbénou, président de l’UP Le Renouveau, a clôturé la rencontre en appelant à dépasser les clivages. S’adressant à la jeunesse, il a rappelé que « l’unité nationale, l’État, nos valeurs démocratiques dépassent toutes les obédiences politiques ». Il a qualifié la tentative de coup de « l’illusion d’une journée et de la tragédie des années ». La rencontre se termine sur une position commune : retour complet au calme, respect de la Constitution et consolidation de l’État de droit. Une unité inhabituelle dans un paysage politique souvent marqué par les divergences.




Tu sais quoi Joe La Fiante Verge Molle,
@The Atlantean a meilleure vie que la tienne, alors prends en de la graine, car il n’est pas encore trop tard.
Quand on me parle de l’apologie de coup d’Etat , c’est un concept difficile à défendre devant les juridictions occidentales.
Ce sont les tribunaux du Benin qui ont une autre lecture de ce concept pour mettre en prison des innocents.
La pratique judiciaire dans les Républiques Bananieres .
Je mets au défi le pouvoir Beninois de venir condamné quelqu’un pour apologie de coup d’Etat en Europe ou aux USA.
Le regard d’un praticien du droit.
Si le coup n’avait pas échoué, les mêmes qui fanfanronnent aujourd’hui soit disant soutien de Talon allait produire un discours différent.
Nous le savons et Talon lui-même doit s’en rendre compte.
Sounun AKONKA , vous allez en souffrir mais vous ne pouvez rien faire.
Que plus jamais qu’on entende ce genre de phrase de la bouche d’un président de la République en exercice.
Voyez-vous, on a vu des Soununs plus AKONKA que lui qui ont mis en branle les institutions de la République.
N’eut été l’intervention des forces étrangères tout aurait basculé.
Sachons donc raison garder .
Je passais
Vous qui croyez que le gouvernement de Patrice Talon est corrompu ou il est corrompu avec ses défauts, je vous invite tous à faire une analyse profonde si j’ose m’exprimer de la sorte ce qu’est la vraie corruption de Donald avec depuis son retour version 2.0 à la Maison Blanche. En dix mois de gouvernance Donald J. Trump est devenu un multi milliardaire.
Et ce n’est que le commencement!
Avec une armée puissante, elle ne peut pas intervenir pour y mettre un frein.
Quel con ce type.
A vomir
Un autiste trisomique.
Tchrous !!!
Me Jacques VergèsVous vous dites juriste et vous ne respectez pas, les trisomiques et autistes……quel égo surdimensionné??? …
Tous ces guig nols.. rece leurs de la ruse et de la rage sont en sursis
Ils savent..tous..qu ils sont vo mis par le p euple
Les bidasses..ne leur servent plus d assurance vie..et ils sont tous in quiets
A 4h du matin, les vaches que tu as niquées sont en train de dormir …donc dégagé làààà!
hé hé dégagé là!!!
@Kpokpola Charlie
Très drôle!
Ecrouler de rires!😂😂😂🤣
Aucun acteur politique responsable ne peut apporter un soutien à putsch qui a échoué.
Un coup d’état raté ou non, est un drame pour un pays, et un échec pour ceux qui sont à la tête du pays.
Il faudrait avoir la lucidité d’analyser les causes de ce mal. Surtout que, depuis la conférence nationale, c’est la première fois que le Bénin est confronté à une telle situation. Et Patrice TALON est le quatrième président du Bénin à l’ère du renouveau.
Le seul responsable c’est Patrice TALON, sans oublier ses courtisans.
Depuis 2016, les options fondamentales de la conférence nationale, fruit d’un consensus, sont détricotées pour donner place à une gouvernance calamiteuse, faite de caporalisation des institution de la République, d’un pouvoir personnel de plus en plus affiché. La prise en otage des secteurs vitaux de l’économie nation et une chasse sans précédent à tous ceux qui peuvent avoir des avis divergents.
On nous parle de réalisation, de routes, de statues etc….
Mais le développement c’est plus que ça.
« (…) créer un Etat de droit et de démocratie pluraliste, dans lequel les droits fondamentaux de l’homme, les libertés publiques, la dignité de la personne humaine et la justice sont garantis, protégés et promus comme la condition nécessaire au développement véritable et harmonieux de chaque béninois, tant dans sa dimension temporelle, culturelle que spirituelle. »
Avec cet extrait de la constitution, nos acteurs politiques aux affaires, arrivent ils à trouver le sommeil par rapport aux actes qu’ils posent et aux décisions qu’ils prennent????
Comment il n’y aura pas de coup d’Etat si le contrat entre les dirigeants et le peuple n’est pas respecté????
Sonagnon pour que sô na gnon il faut que tu arrêtes de déblatérer tout le temps ici…très éthéré tu es…cesse ton woba woba comme nous le disons chez nous à Abidjan…gossin finin ho vi kléoum et c’est tout ce que nous voulons…
Ici c’est le vié pèèèèBailly
Mes ennemis je m’en charge
Protégez moi seulement de mes amis .
Disait le défunt Roi Hassan 2 du Maroc
Talon doit se méfier de ces gens-là.
J’avoue
Pour sa majesté un ennemi avoué est une cible claire
Il attaque de face et expose ses intentions belliqueuses et paradoxalement rend la défense possible
L’une des rares réflexions intellectuelles du monarque.
Pour éveiller l’attention du président Talon sur cette mascarade hypocrite de ceux-là qui prétendent être ses amis
Ils ne sont là que pour la gloire et des besoins mercantiles .
Ils seront les premiers à venir dire le contraire de qu’ils racontent aujourd’hui.
J’avoue
Cherchez l’erreur
Tous des opportunistes profito-situatonnistes .
Suivez mon regard
Me Jacques Vergès, Tu es irréversiblement incrusté dans la cruauté et l’ingratitude…*
on va te rafraichir avec une séance de doboliba jogging