Depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier 2025, Donald Trump n’a pas abandonné sa passion pour le golf. Bien au contraire. Cette activité favorite du 47e président des États-Unis pèse lourdement sur les finances publiques américaines, avec une note qui pourrait atteindre des sommets jamais vus pour un mandat présidentiel.
Des déplacements répétés vers Mar-a-Lago qui explosent les compteurs
Les chiffres donnent le vertige. Selon une enquête du Huff Post, les escapades golfiques de Trump ont déjà englouti 70,8 millions de dollars des deniers publics en seulement onze mois. Si cette cadence se maintient, la facture totale pourrait dépasser les 300 millions de dollars d’ici la fin de son second mandat en 2029. Un montant qui représente le double de ce qu’avaient coûté ses sorties golf durant son premier passage au pouvoir entre 2017 et 2021, où la note s’élevait à 151,5 millions de dollars.
Le mois de novembre illustre parfaitement cette tendance. Le président s’est envolé à quatre reprises vers sa résidence floridienne de Mar-a-Lago, située à proximité immédiate de ses parcours préférés. Chaque aller-retour représente une dépense de 3,4 millions de dollars pour le Trésor américain. À ce rythme, deux voyages supplémentaires en décembre suffiraient à faire grimper le budget 2025 au-delà des 75 millions de dollars.
Air Force One et dispositif de sécurité titanesque font grimper la note
Comment expliquer des montants aussi astronomiques ? L’essentiel de la facture provient du transport présidentiel. Air Force One, l’avion mythique qui transporte le commandant en chef, coûte 273 063 dollars par heure de vol. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. À cela s’ajoutent les frais liés au dispositif de sécurité déployé par le Secret Service : patrouilles armées, véhicules blindés, navires de la garde côtière qui surveillent les côtes lors des séjours à Mar-a-Lago, sans oublier le personnel médical et les équipes de communication qui accompagnent systématiquement le président.
Les analystes ont calculé que Trump consacre environ 12 % de son temps présidentiel à ses parties de golf. Une proportion qui interpelle, d’autant plus que le milliardaire new-yorkais avait vivement critiqué Barack Obama pour ses sorties sur les greens avant son élection en 2016, promettant même qu’il ne jouerait jamais au golf s’il accédait à la présidence.




Je crois que lkes c***iesde Micron coûtent bien plsu cher à la Fronce