L’affaire est traitée avec une extrême discrétion par les autorités françaises, mais ses implications dépassent largement un simple contentieux industriel. En France, une enquête judiciaire est désormais ouverte autour de la disparition de quantités importantes d’uranium civil extrait au Niger, dans des zones autrefois exploitées par le groupe français Orano rapporte Franceinfo. Au cœur du dossier, des soupçons portent sur une possible destination russe de ce minerai stratégique, évalué à plusieurs dizaines de millions d’euros.
Orano, perte de contrôle des sites miniers et tensions autour de l’uranium
Ce dossier trouve son origine dans une situation déjà fragilisée depuis plusieurs mois. À la suite des changements intervenus au sommet de l’État nigérien, Orano a progressivement perdu le contrôle opérationnel de plusieurs de ses activités minières dans le pays. Les autorités locales ont repris la main sur des sites jusque-là exploités par le groupe français, entraînant une rupture de fait dans la gestion des installations et des stocks.
Une enquête française sur la disparition d’uranium stratégique au Niger
Le Parquet de Paris a confirmé l’ouverture d’une enquête pour vol en bande organisée, avec une qualification aggravée liée à la possible atteinte aux intérêts fondamentaux de la France précise la même source. Les investigations portent sur environ 1 000 tonnes d’uranium civil, issues de gisements situés dans la région d’Arlit, au nord du Niger.
Selon les éléments connus, cette enquête a été déclenchée à la suite d’une plainte déposée par Orano, après la constatation de la disparition de ces stocks. Leur valeur est estimée à environ 160 millions d’euros, ce qui confère à l’affaire une dimension économique majeure, au-delà de sa portée industrielle.
Les autorités judiciaires françaises ont confié le dossier à la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI). Ce choix souligne la sensibilité du sujet, la DGSI étant notamment chargée de la lutte contre les ingérences étrangères et de la protection des actifs stratégiques nationaux. Les enquêteurs cherchent à déterminer les conditions exactes de la disparition du minerai, les responsabilités éventuelles et la destination finale des cargaisons concernées.
Les soupçons évoqués par des sources concordantes concernent un acheminement possible de cet uranium vers la Russie. À ce stade, aucune confirmation officielle n’a été rendue publique sur l’issue ou la réalité d’un tel transfert. Les autorités judiciaires françaises se limitent à examiner cette piste parmi d’autres, sans désigner de responsable ni établir de lien définitif avec un État ou un opérateur précis.
Pour rappel, les autorités nigériennes avaient fait savoir leur intention de mettre l’uranium sur le marché international, une annonce qui a ravivé les inquiétudes autour du devenir des stocks déjà extraits. Des sources proches du dossier estiment que la Russie ferait partie des rares pays disposant à la fois de l’intérêt stratégique et des capacités techniques pour exploiter rapidement ce type de minerai, ce qui alimente les soupçons examinés par les enquêteurs français.




Les soupçons évoqués par des sources concordantes concernent un acheminement possible de cet uranium vers la Russie…
Et alors ! l’uranium du Niger, ce n’est pas la betterave de la France et orano n’en est pas le propriétaire d’autant qu’il était une société qui pillait cette ressource du Niger avec la complicité des esclaves-présidents qui étaient placés à la tête de ce pays.
Le Niger a bien dit officiellement qu’il mettait son uranium en vente sur le marché international, donc il n’y a rien de caché si c’est la Russie qui a acheté les 1000 tonnes.
Pas besoin d’enquête, il faut simplement que la France négocie désormais avec la Russie pour racheter l’uranium qu’elle volait.
Les Temps changent et il faut se réveiller à la réalité de choses.
Les soupçons évoqués par des sources concordantes concernent un acheminement possible de cet uranium vers la Russie…
Et alors ! l’uranium du Niger, ce n’est pas la betterave de la France et orano n’en est pas le propriétaire d’autant qu’il était une société qui pillait cette ressource du Niger avec la complicité des esclaves-présidents qui étaient placés à la tête de ce pays.
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