Fitheb 2008

{ic_doc}{/ic_doc} Le ministre de la culture se réjouit avec les festivaliers

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M essages de remerciement, Photos de famille, mangés, boissons. Une fraction de l’ambiance festive qui règne au centre culturel français, au palais des congrès, au palais des sports du stade de l’amitié, à la place de souvenir, sur le terrain de foot de la télévision nationale,…, dans les rues de Cotonou et dans plusieurs locaux des grandes villes du Bénin notamment Porto-novo, Abomey, Parakou et Ouidah depuis le samedi 22 mars 2008, est transférée dans la salle vip du ministère de la culture, de l’artisanat et du tourisme. La salle est prise d’assaut par une centaine de festivaliers de l’édition 2008 du festival international de théâtre du Bénin venus prendre part au cocktail à leur offert par soumanou Toléba. La réjouissance est totale entre eux et l’autorité. Toutes les délégations qui ont foulé le sol béninois depuis une dizaine de jour pour animer la neuvième édition du fitheb sont représentées. Il s’agit de la Martinique, la Belgique, la France, le Brésil, le Cameroun, le Sénégal, le Mali, etc. Les béninois n’ont pas manqué le rendez-vous.

Par l’intermédiaire de leur porte parole Adam Traoré, les festivaliers saluuent l’accueil qui leur ont été accordée et l’effort du gouvernement béninois dans le processus de développement du théâtre africain. Le ministre de la culture quant à lui les remercie pour avoir contribuer au ré haussement de la grande fête du théâtre béninois et africain en général, Fitheb. Il leur fait ensuite la confidence du président Boni Yayi après leur départ du palais de la marina. En effet, ces mêmes délégations étaient reçues en audience le vendredi 28 mars dernier par le président de la république. Le chef de l’Etat béninois s’est dit satisfait d’eux et souhaite que le Fitheb perdure. Pour l’ensemble des festivaliers, l’audience et le cocktail à leur offert respectivement par le président Boni Yayi et le ministre Soumanou Toléba témoignent de l’attachement qu’accorde l’Etat béninois à la culture africaine. Leur porte parole déclare être convaincu que tous les artistes doivent se réjouirent parce que la culture devienne une priorité pour les chefs d’Etat et autres autorités africaines. « L’Afrique doit s’investir dans la culture, soutenir les initiatives culturelles »

Blaise Ahouansè

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