A propos de la partition du gouvernement dans le processus électoral

Yayi cède aux nombreuses pressions

(Mais les actes trahissent sa pensée)
Malgré l’engagement pris par le président de la République de faire jouer au gouvernement sa « partition constitutionnelle et légale » dans le déroulement du processus électoral, 

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la Commission électorale nationale autonome (Cena) est toujours sans moyens et plusieurs autres difficultés du fait de l’Etat continuent d’éprouver durement la tenue du scrutin du 20 avril prochain au point même  de le compromettre. Un tel constat amène certains à douter de la sincérité et de la bonne foi du gouvernement et du chef de l’Etat puis d’autres à conclure simplement qu’il y a une antinomie entre les déclarations du chef de l’Etat et les actes qu’il pose ou fait poser. Cela est d’autant plus dangereux aux yeux de plusieurs acteurs de la classe politique qu’il ne s’agit pas d’un accord politique ou d’une promesse électorale mais d’une obligation constitutionnelle déterminant pour la crédibilité de l’Etat béninois et de sa jeune démocratie.
 L. D. G.

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