Campagnes électorales de Fcbe à Porto-novo

Soufiano réaffirme les ambitions de  Yayi pour la ville en 2008
Les responsables et leaders de la force cauris pour un Bénin émergent ( Fcbe) de la ville de Porto-novo ont lancé, le samedi dernier sur l’esplanade extérieure de l’Assemblée nationale, la campagne électorale pour les échéances du 20 avril 2008. Plusieurs personnalités ont répondu présentes à cette grande manifestation, notamment Issa Badarou représentant le chef de l’Etat, El Hadja Mouinatou Salami membre de la coordination Fcbe de Porto-novo, le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin ( Ccib) Ataou Soufiano, Me Djamiou Adébo candidat sur la liste Fcbe, les ambassadeurs Albert Agossou du Bénin près la France et Wabi Daouda de l’Arabie Saoudite ainsi que tous les candidats au poste de conseillers municipaux.

C’était dans une ambiance festive que la cérémonie s’est déroulée. Le président de la Ccib, natif de la ville de Porto-novo, n’a pas manqué de rappeler les ambitions du chef de l’Etat pour la ville de Porto-novo. Selon lui, l’année 2008 a été déclarée l’année de la ville de Porto-novo par le chef de l’Etat. Les nombreux projets destinés pour la ville n’ont pas été occultés par Ataou Soufiano. Pour joindre l’acte à la parolen Ataou Soufiano a annoncé que dès le 17 avril prochain les investisseurs étrangers vont fouler le sol de Porto-novo où les responsables d’entreprises de construction de route seront l’hôte de la ville La réhabilitation de la ville étant on cheval de bataille, Ataou Soufiano rappelera qu’à l’occasion du centenaire de la Ccibn le 28 mai prochain, il procèdera à la pose de première pierre d’une palais de congrès digne de son nom aux abords de la berge lagunaire de Porto-novo. Les prochaines échéances du 20 avril 2008 dans la ville de Porto-novo seront une réussite pour la liste Fcbe, a t-il déclaré. Il a exhorté les militants Fcbe à soutenir le chef de l’Etat dans ses ambitions pour la ville. Car lance t-il à ses adversaires politiques de la ville que << ce sont les derniers soubressauts d’une bête agonisante>>.

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Ismail Kèko

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