Philibert Cossi Dossou-Yovo lance la 11è promotion des étudiants guérisseurs
Les locaux du centre international de recherches d’apprentissage et de perfectionnement de la médecine traditionnelle démythifiée (Cirapemetrade) a servi de cadre le week-end dernier au lancement des activités académiques de la 11è promotion des étudiants en médecine traditionnelle.
Rivalité avec la Russie : l’Ukraine fait son entrée dans ce pays africain
Le conflit russo-ukrainien tend vers va deuxième année et pour le moment, nul ne peut prédire l’issue. Cette guerre a...
Lire C’est le président de l’Adetspd (association de défense de l’exploitation de la tradition pour la santé des populations démunies) et initiateur dudit centre de formation Philibert Cossi Dossou-Yovo qui a procédé au lancement des activités en présence de la directrice du centre Rène Dossou-Yovo, du corps professoral et des étudiants en médecine traditionnelle. Ledit centre qui a commencé ses premiers cours en 1999 est créé pour former de vrais guérisseurs compétents capables de guérir toutes les maladies du monde et de régler tous les problèmes afférents à la vie de l’homme à partir de l’art traditionnel de guérir que les ancêtres béninois leur ont légué. A en croire Philibert Cossi Dossou-Yovo, le centre dispense cinq rubriques d’enseignement, à savoir la pharmacopée populaire, la médecine populaire, la pharmacopée scientifique, la médecine scientifique traditionnelle et le traitement scientifique traditionnel. Pour finir, le président de l’Adetpsd a entretenu l’assistance sur le thème << la démythification de la médecine traditionnelle>>. Selon lui, au Cirapemetrade, on ne considère pas les superflus, le mythe, l’invention imaginaire de l’homme, la religion. Mais on ne parle que des vertus. Les cours selon lui, sont dispensés dans le centre avec la pratique.
Ismail Kèko
