Fin des travaux du séminaire interuniversitaire sur le Lmd

/food/isociete.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » » border= »0″ style= »float: right; » />Les recommandations formulées
Ouvert mercredi 04 juin dernier au champ de foire à la faculté des sciences de la santé, le séminaire interuniversitaire a connu  hier jeudi 05 juin son épilogue. Des recommandations ont été formulées pendant ces deux jours de travaux effectuer.

« Les outils de gestion des flux des étudiants », tel a été le thème débattu pendant les deux jours par les experts du Réseau pour l’excellence de l’enseignement supérieur en Afrique de l’Ouest (Reseeao). Pendant les quarante huit heures (48 h),  de conférences et d’ateliers intenses, des recommandations ont été formulées. Ainsi chacun des experts présents a eu l’occasion de limer sa cervelle contre celle des autres. Ce laps de temps leur a permis de s’enrichir mutuellement, de dégager clairement des pistes essentielles pour une meilleure compréhension des différents aspects de leur thématique, avec surtout une vision partagée des séminaristes sur certains aspects du concept à savoir : la nécessité d’utilisation de logiciels  performants de gestion des scolarités et des autres services de l’instituction en prévoyant par la même occasion, la formation du personnel, la mise à leur disposition prioritaire d’équipements informatiques en nombre suffisant et l’affectation d’un personnel « jeune et perfectible ». Entre autres les différents mécanismes de sélection des apprenants à leur rentrée à l’Université et les moyens de régulation des cursus, les processus pouvant conduire à une amélioration des capacités d’accueil dans la mesure où bien que les universités soient surpeuplées, le nombre d’étudiants pour 100 mille habitants reste encore très faible font aussi partie des recommandations formulées pendant le séminaire. Le président du Reesao, le professeur Etienne Ehilé,  a estimé que la mise en œuvre du système Lmd dans leur réseau constitu une responsabilité collective historique de tous les acteurs du système éducatif. Pour lui le financement apparaît comme l’élément central.  «Il est donc clair que quiconque convaincu de la pertinence de l’initiative et qui veut apporter un quelconque appui le fasse en toute sincérité sans mascarade aucune et que les fonds éventuellement alloués à cette fin puissent leur parvenir effectivement et dans la transparence» a t- il conclu.

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Suzanne A. Edoh

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