Protocole d’accord entre le G4 et Force-clé

/food/fcbe.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » »  » />Le député Zohoun relève une attitude de peur de l’opposition

Le député-Fcbe (Forces cauris pour un Bénin émergent), Sylvain Zohoun, était hier l’invité de l’émission ‘’Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm. Il s’est prononcé sur le récent protocole d’accord du G4 et Force-clé intervenu, la semaine écoulée.

De son analyse, il y ressort une attitude de peur permanente de l’opposition, car dans la plupart des articles de l’accord, il note l’abondance du mot ‘’Unification’’, signe qu’il y a un problème de fond qui se pose. Pour lui, les partis politiques signataires de ce protocole ont des craintes, car en réalité, ils étaient ensemble. M. Zohoun a rappelé les déclarations communes du 12 mars à Bohicon, les assises de Bohicon et d’autres actions menées en symbiose. Se fondant sur ces données, il a déclaré que ce protocole n’a rien de nouveau. C’est pourquoi, il a déclaré que ses attentes et celles de la majorité du peuple ont été déçues, car tout le monde s’attendait à la désignation du candidat du groupe pour 2011.  Pour aller plus loin dans son analyse, l’invité de la radio Océan Fm a déclaré que la mouvance présidentielle était dans cette dynamique depuis lors. C’est ainsi qu’il a apprécié l’existence de l’Union de la majorité présidentielle plurielle (Umpp) qui est le creuset de toutes les forces soutenant les actions du président Boni Yayi. Selon lui, c’est une stratégie pour quadriller le terrain en 2011. C’est en cela qu’il soutient avec fermeté que les Fcbe et leurs alliés se portent à merveille pour les prochaines batailles.

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Soutien  

Le député Sylvain Zohoun a montré à l’opinion publique qu’il continue de soutenir les actions du gouvernement du président Boni Yayi. Sur toute la ligne, il s’est battu pour le défendre. S’intéressant à l’actualité, il a apprécié le retrait de l’Ige de la bourse du travail. A cet effet, il a souligné que c’est le souci du respect des institutions républicaines et de la paix sociale qui a amené le chef de l’Etat à prendre cette lourde décision, car c’était au cours d’une séance de travail en présence des syndicalistes et du président du Conseil économique et social qu’il est arrivé à cela.

Jules Yaovi Maoussi

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