Concept du changement : Jérôme Carlos et Thomas Boya sortent le 3ème volume

Après «Je veux  mon changement » en 2007, «J’opère  mon changement » en 2008,  l’écrivain chroniqueur  Jérôme Carlos  et Thomas Boya ont mis depuis hier sur le marché,   le troisième volume de la série. Il est intitulé, « Je pense positif, ma vie  change » édité comme les  deux premiers par  la maison d’édition Tundé. «  Ce  troisième  et dernier volume est le fruit de la collaboration de deux auteurs  de talent qui  traduit  l’attitude  morale  et spirituelle  requise  pour garantir  une vie meilleure » affirme  Sama, le directeur de  cette maison. Les pensées qui habitent  un homme  tout au long de la journée font de lui  ce qu’il est, poursuit-il, ajoutant que la pauvreté est  l’effet d’une conscience tournée vers  la pauvreté. Pour  Sama donc, chacun  de nous  doit s’approprier de cette œuvre  afin d’appréhender  la portée des enseignements qui y sont contenus. Il souhaite  que des contributions  de ce genre se multiplient dans le pays pour que le changement individuel  s’opère réellement  dans  la vie de  tout un chacun

Jérôme Carlos,  l’un des auteurs du présent ouvrage rappelle d’abord  que si cette série a été consacrée au concept du  changement, c’est parce qu’ils  étaient animés de l’idée que les politiciens    pouvaient  le vider  de tout son contenu. « C’est un concept pourtant très riche,  très positif,  c’est  l’autre  nom  du développement » souligne-t-il.  Ce troisième volume  est constitué de 97 pages et est reparti en  trois parties portant sur des sous-thèmes variés. Le premier, par exemple, parle du portrait  du  pauvre et de la radiographie de la pauvreté. Ici,  l’auteur explique que les gens  ne sont pas pauvres en soi, mais ils s’appauvrissent  en  s’acceptant pauvres. « La pauvreté  est une maladie  de l’esprit. Mais elle n’est pas une maladie incurable.    Chacun peut la guérir s’il s’y met » ajoute-t-il. Thomas Boya,  le second auteur abondera dans le même sens. Il cite  Napoléon II qui écrivait : « Aucun  homme ne peut devenir maître de quoi que ce soit, ni de qui que ce soit, s’il ne maitrise  pas son moi  propre ». Il   affirme aussi qu’il ne s’agira pas seulement de lire ce livre et de le mettre après de côté, mais aussi d’y piquer  une vérité   et  de la mettre en pratique. « Nous ne sommes pas pauvres. C’est nous qui pensons que nous sommes pauvres » fait-il remarquer par ailleurs. Entre autres personnalités présentes hier  à la cérémonie de lancement de ce troisième volume, il y avait  Bruno Amossou, Adrien Ahanhanzo Glèlè pour  ne citer  qu ceux-là.

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