Le CRDI accompagne la formation des économistes Africains

La salle de conférence du Ministère du développement de l’analyse économique et de la prospective a servi de cadre  hier, à la cérémonie de signature, entre le représentant du Centre de recherche pour le développement international (CRDI) et le Président du conseil d’administration  du nouveau programme de troisième cycle interuniversitaire, d’un  contrat  de  financement pour la formation de docteurs en économie.  Il s’agit d’un financement à hauteur de 970 millions F Cfa.

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Cadre du ministère du  développement, Universitaires et une délégation du Centre de recherche pour le développement international (CRDI) s’étaient réunis hier dans la salle de conférence dudit ministère. Pour cause, la cérémonie de signature du contrat de financement pour la formation de docteurs en économie. En présence du ministre Marcel De Souza,  Flambert Mbiekop, représentant de la partie donatrice, le Centre de recherche pour le développement international (CRDI) et Mr Ablassè Ouedraogo, Président du conseil d’administration  du nouveau programme de troisième cycle interuniversitaire ont rempli les formalités d’usages qui ont consacré l’encaissement de cet apport financier à hauteur de 970 millions F Cfa.
Comme de coutume  en de pareilles circonstances, chacun des acteurs du présent évènement est passé au pupitre pour exprimer son avis. Pour Monsieur Ouédraogo, le programme vise la formation des docteurs de standard international pour pourvoir de cadres compétents, les facultés  des sciences économiques et de gestion des pays membre de la Conférence des institutions d’enseignement  et de recherche économique et de gestion en Afrique (Cierea). Mieux le NPTCI s’emploi a renforcé la capacité institutionnelle de ces facultés. La première phase du programme a enregistré en Afrique, environ 75 soutenances de thèse de doctorat PhD  en économie. Les avis sur le NPTCI sont tous élogieux. Pam Zahonogo, diplômé bénéficiaire du programme témoignent qu’il favorisé l’accroissement du nombre des enseignants et l’amélioration de la qualité de l’enseignement. Aux dires de Pam, au titre du programme on compte 12 agrégés au Cames  entre 2007 et 2011.  Quoi de plus noble? S’interroge,  le représentant du CRDI, qui  face à ces réalisations, affirment «Le PTCI est un instrument qui assoit les conditions sine qua non pour l’éradication de la pauvreté». Ces remarques sont revenues dans l’allocution du ministre De Souza. Il a alors adressé de vibrants hommages aux initiateurs du PTCI à qui il réitère le soutien du gouvernement.

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