2ème congrès ordinaire de l’Odhp : pour conquérir le pouvoir des travailleurs et du peuple

L’Organisation pour la défense des droits de l’homme et des  peuples (Odhp) a tenu samedi dernier à la bourse du travail son deuxième congrès ordinaire.

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Onze ans après le premier, L’Organisation pour la défense des droits de l’homme et des  peuples (Odhp) a tenu son deuxième congrès ordinaire. D’entrée, le Vice-président de l’Odhp Aboubakar Baparapé a présenté le contexte dans lequel se teint ce deuxième congrès. «Le Bénin de changement devenu promptement celui de refondation est à la croisée des chemins», souligne-t-il. Pour lui, le régime actuel n’a rien trouvé de mieux que d’attaquer de front et de façon violente les libertés fondamentales les acquises sous hautes luttes et sacrifices des compatriotes. Le vice président trouve que dans tous les sujets importants, le gouvernement à faire preuve  aux yeux de tout le monde, de sa mauvaise foi et n’a jamais été sincère. Pour preuve, la situation des enseignants et celle des douaniers qu’on a finis par inviter à un « déjeuner de travailleurs après les avoir humiliés». «L’histoire donne raison au Parti communiste du Bénin (Pcb) qui anticipe toujours sur les évènements et qui avait prévenu que Boni Yayi était un dictateur», martèle-t-il. Et comme si ce n’est pas encore assez, «certains de nos militants sont victimes des arrestations arbitraires», indique Aboubakar Baparapé. Face à ce tableau sombre, ce deuxième congrès ordinaire de l’Odhp est comme «un réengagement pour la lutte pour le respect des droits de l’homme».
Avant que le président de l’Odhp,  Gustave Anato, ne présente la ligne et les convictions de l’organisation et ne lance les travaux du congrès, place a été faite aux centrales syndicales et autres invités. Pour Paul Iko représentant  la Centrale syndicale des travailleurs du Bénin (Cstb) et les autres invités comme le président du comité de développement de Natitingou et le porte parole du Pcb, l’Odhp est le seul organisation qui lutte réellement pour les droits de l’homme au Bénin. Elle ne s’est pas contenté du juridique mais s’est mis dans les rues pour défendre les droits de l’homme. De plus, l4odhp a été de tous les combats.
Après les travaux en commission qui ont tournés autour des plus préoccupations dont le contrôle de la gestion du bien public, le bureau a présenté son rapport d’activité avant l’installation d’un nouveau.

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