Projet d’éducation aux droits humains en Afrique : les acteurs béninois planifient la 2ème phase

La salle de conférence de l’hôtel de France a abrité, du 25 au 26 Janvier dernier, un atelier consacré à la relance et à la planification des activités marquant la phase transitoire et le second projet d’éducation aux droits humains en Afrique, section du Bénin.

Publicité

Identifier de nouveaux microprojets et planifier leurs modalités d’exécution pendant une  phase transitoire d’une durée de six mois qui sépare le premier  projet d’éducation aux droits humains au Bénin du second. C’est l’objectif général  dudit atelier qui a réuni les principaux acteurs du projet dont le coordonnateur national, Olivier Kiki, le directeur, Clément Cakpo-Chichi, la présidente du comité du partenariat, Généviève  Nadjo et dix participants aux projets.  Dans son allocution, le directeur du projet a salué la détermination et le dynamisme des uns et des autres ayant participé au premier projet d’éducation aux droits humains qui a duré 4 ans.  Aussi, a-t-Il remercié Amnesty International qui, «malgré ses difficultés, a pu trouver les moyens de relancer le projet. Avis que partage, la présidente du comité du partenariat, Géneviève Nadjo. Par ailleurs, elle est revenue sur les critères ayant motivé la réduction des participants du projet de 15 pour le premier projet à 10 pour le second.  À en croire cette dernière, «rien n’est encore gagné pour les dix participants sélectionnés pour le second projet car la phase transitoire que le projet aborde peut encore faire éliminer des participants». Elle n’a pas manqué de remercier et de féliciter Amnesty International Bénin qui devient le partenaire principal pour le second projet.

Le second projet…

Initié par Amnesty International pour aider les peuples africains à utiliser les droits humains comme outils d’amélioration de leur condition de vie, le projet d’éducation aux droits humains est exécuté, pour la première phase dans 10  pays dont le Bénin, le Togo, le Ghana, l’Ouganda, la Sierra Leone, le Kenya… Pour le second projet qui va suivre la phase transitoire qui couvre les six prochains mois, le programme sera axé sur la santé maternelle et l’égalité des sexes. Aux dix premiers pays précédents, s’ajouteront trois d’autres dont le Nigéria, le Zimbabwe et la Côte-d’Ivoire. Au Bénin, seulement huit communes seront prises en compte contre treize à la première phase. L’atelier a pris fin par une projection portant sur les objectifs et les orientations stratégiques nationales du projet. Le tout  suivi de débats sous  le contrôle  du coordonateur du projet, Olivier Kiki.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité