Les rebelles touaregs premiers auteurs de la déroute de l'armée malienne au nord du pays se disent prêts à aider la France et l'armée malienne à condition que l'Etat (fantôme) qu'ils avaient créé, l'Azawad soit respecté en attendant la résolution politique prévue entre leur groupe et le gouvernement malien.
De leur côté les bérets rouges, Collectif des éléments du 33ème régiment des commandos parachutistes du pays refusent de rester à l'écart et veulent prendre part à la guerre contre les terroristes. Ils ont fait part au président Dioncounda Traoré dans une correspondance datant du 12 janvier de leur disponibilité à aller au front.
