Affaire Patrice Talon : Pour qui roule Jeune Afrique ?

Au cours de cette conférence à laquelle ont pris part des journalistes de la presse internationale, le comportement de l’un d’entre eux a surpris. Au lieu de s’asseoir et de suivre la conférence comme les autres, Philippe Perdrix, journaliste à Jeune Afrique, a joué un rôle qui dépasse celui d’un journaliste en position de reportage.

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Alors que les confrères posaient des questions, il était débout comme les membres de la cellule de communication, suivait avec attention les confrères, un peu comme pour avoir une bonne couverture de cette conférence. On le voyait aussi chuchoter des choses aux oreilles de Vincent Dassi, attaché de presse du Président de la République, ou à d’autres membres de la cellule de communication. C’est à croire que ses nombreux voyages au Bénin dans le cadre des éditions spéciales réalisées par son magazine, ou en quête d’informations, ont fini par lui favoriser une accointance trop poussée avec le pouvoir, au point où on le solliciterait pour appuyer la cellule de communication dans ses œuvres.(à suivre)

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