Exploitation et transformation de diamant : le Processus de Kimberley invite aux respects de droits humains

Vigilance doit être de mise pour le respect des droits de l’homme par les producteurs et les industriels de diamant. Le processus Kimberley qui certifie la crédibilité des industries diamantaires l’a rappelé aux producteurs et industriels du diamant, mardi à l’ouverture de sa réunion annuelle qui se tient cette année à Johannesburg.

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Aller plus loin, faire des avancées notoires dans la transparence et la protection des droits de l’homme. C’est le défi que les producteurs et les industriels de diamant sont appelés à relever. L’objectif comme d’habitude est d’amener les consommateurs a identifier et éviter l’achat de diamants avec des seigneurs de guerres et des chefs rebelles qui exploitent illicitement les minerais de diamants pour acheter des armes et des munitions de guerre. Malgré ses efforts, le processus Kimberley qui célèbre son 10 anniversaire traine encore des lacunes. Ce qui lui à coûter en 2011, le soutien de l’Ong britannique Global Witness qui tenait les devants dans cette lutte. Le processus Kimberley a du mal à empêcher la contrebande très en vogue au Venezuela souvent indexé dans les exportations frauduleuses de diamants par trois pays, à savoir le Brésil, le Ghana et le Panama. Les diamants du sang ont nourri beaucoup de conflits, dans des pays africains et celui resté encore amer dans les esprits est le cas du Libéria avec Charles Taylor.

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