Finale de la coupe du monde : l’Allemagne en course pour la 4ème étoile, l’Argentine pour la 3ème

L’Espagne, tenante du titre de la précédente édition connaîtra, dimanche prochain à Rio Janeiro, son successeur à l’issue de la finale de la 20ème édition de la Coupe du monde Brésil 2014 qui va opposer l’Allemagne à l’Argentine. Rio de Janeiro accueillera, dimanche prochain, la finale de la 20ème édition de la Coupe du monde de football, Brésil 2014. 

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Cette finale mettra aux prises l’Allemagne à l’Argentine. C’est la troisième fois que Allemands et Argentins vont se rencontrer à une finale d’un mondial. En 1986, lors du Mondial au Mexique, les Albicelestes (Argentine) ont décroché leur deuxième couronne mondiale en dictant leur loi à la National mannschaft ( Allemagne) par le score de 3 buts à 2 . Les deux sélections nationales se sont à nouveau croisées en finale du Mondial Italie 1990 où c’était le tour des Allemands de prendre leur revanche en venant à bout des Argentins sur un score étriqué de 1 but à 0. Avec une victoire partout , les Allemands chercheront à empêcher leurs rivaux argentins de les rejoindre en terme de détention du titre mondial. Quant aux Argentins , ils sont plus déterminés à inscrire leur nom pour la troisième fois dans les annales de l’histoire de la prestigieuse compétition .

Les Allemands déterminés

L’Allemagne, avec huit (08) qualifications pour la finale d’une phase finale de la Coupe du monde (1954, 1966,1974 1982, 1986, 1990, 2002 et 2014) a remporté trois (03) fois le trophée d’Or en 1954,1974 et 1990. Pour soulever une quatrième fois la coupe du monde, les Allemands disposent d’atouts non négligeables pour dynamiter l’équipe argentine. Ces Allemands compteront sur la vivacité, la rage de vaincre et la détermination des attaquants tel que Klose pour inscrire le but à la moindre erreur de la défense de l’équipe Albiceleste. Un autre atout des joueurs allemands est qu’ils ont un mental d’acier. Ils jouent de la première minute de jeu jusqu’à l’ultime du match. Ils ne baissent jamais les bras lorsqu’ils sont en difficulté. Il ne faut pas oublier le fin technicien allemand Joachim Löw qui a su donner une âme à la Nationalmannschaft. La Seleçao (Brésil) peut en témoigner lorsqu’ elle a été noyée, en demi-finale, par un score de 7 buts à 1. Alors, on peut donc se poser la question de savoir qu’est-ce que Löw réserve encore le dimanche 13 juillet prochain à ses fans ?

Les Argentins confiants

L’Argentine de son côté, après trois (03) finales disputées dont la première malheureuse en 1930 et celles victorieuses de 1978 et 1986 s’apprête à disputer sa quatrième finale prévue pour ce 13 juillet au Rio Janeiro. Diego Maradona a marqué son temps avec une coupe du monde à son actif (trophée conquis en 1986 au Mondial du Mexique), Lionel Messi, le sociétaire de Fc Barcelone veut également le faire. Il entend mettre toutes les forces de son côté pour permettre à leurs supporters d’avoir le sourire et non les larmes aux yeux. C’est pour cela que le sélectionneur des Albicelestes est en train de peaufiner avec ses joueurs les stratégies nécessaires pour qu’ il ait gain de cause face à ces Allemands ; vieux briscards. Mais ces joueurs argentins se disent confiants de l’issue de la rencontre. Tout en respectant les Allemands, ils affirment qu’ils comptent sur leurs qualités physiques et techniques pour dompter leurs adversaires du jour. Pour les Albicelestes, ils croient en Dieu pour qu’il leur donne la force et le courage de clouer le bec à ces Allemands.

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Il faut signaler que pour atteindre la finale, l’Allemagne a battu, en match de poules, le Portugal (4-0) et les Etats-Unis (0-1) et tenue en échec par le Ghana (2-2). En 8èmes de finale, l’équipe allemande a éliminé l’Algérie (2-1), en quarts de finale la France (1-0) et demi-finale le Brésil (7-1). Quant aux Argentins, ils ont vaincu respectivement en matches de groupe la Bosnie-Herzégovine (2-1), à l’Iran (1-0) et le Nigeria (3-2). En 8èmes de finale, les coéquipiers du capitaine Lionel Messi ont sorti la Suisse (1-0), en quarts de finale la Belgique (2-1) et en demi-finale les Pays–Bas (0-0, 4 tirs au but contre 2).

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