Mondiaux 2018 et 2022: «revoter s’il y a des preuves de corruption »

«Je suis plus que blanc. Je n’ai reçu ni Picasso, ni lingot, ni gaz, ni pétrole ni rien du tout». C’est ainsi qu’a réagi ce mardi 09 décembre 2014 le président de l’Uefa aux «allégations» de corruption portées contre lui.

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 Dans un article publié fin novembre, le journal britannique, «Sunday Times»  révélait que Michel Platini aurait reçu un tableau de Picasso en échange de son vote pour l’attribution de la coupe du monde de football 2018 à la Russie. Sur Europe 1, le patron du football européen martèle avoir toujours «voté par conviction».

Il explique son choix sur le Qatar et la Russie : «Si j’ai voté pour le Qatar et la Russie, c’est que je voulais que le football aille dans de nouveaux territoires.» Attribués le 02 décembre 2010, les Mondiaux 2018 et 2022 en Russie et au Qatar sont au cœur de la polémique. Avec à la clé des soupçons de corruption et d’achat de vote. A ce propos, l’ancien joueur français pense qu’il faudra «revoter» les attributions « s’il y a des preuves de corruption.» 

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