Longtemps absent sur la scène footballistique béninoise et présent sur la scène africaine même internationale, l’ex-président de la Fédération béninoise de football ( Fbf) et membre actuel du comité exécutif de la Confédération africaine de football ( Caf), Anjorin Moucharafou s’est prononcé hier sur l’émission «Ma part de vérité » à propos de la situation qui prévaut actuellement au sein du football béninois.
Il a même affirmé ne pas être pas à la base des malheurs actuels du sport roi béninois Invité hier sur l’émission « Ma part de Vérité » de Golfe FM et de TV, l’ex-président de la Fédération béninoise de football ( Fbf) et membre actuel du comité exécutif de la Confédération africaine ( Caf), Anjorin Moucharafou s’est prononcé sur la situation qui prévaut au sein du football béninois et qui a poussé à la mise en place d’ un comité de normalisation par la Fédération Internationale de football association ( Fifa). Pour que le sport roi connaisse un réel développement, il a invité tous les protagonistes impliqués dans la crise à la réconciliation et à la tolérance. Accusé d’être à la base des malheurs du cuir rond béninois, le président Anjorin Moucharafou s’est défendu en affirmant en ces termes : « Je n’ai pas tué le football béninois » . Pour étayer ce qu’ il dit , il a déclaré qu’ « aujourd’hui, on a un patrimoine évalué à plus de 4 milliards » De plus , il a fait savoir aux auditeurs et téléspectateurs que sous son mandat, le Bénin a connu une visibilité, ceci à travers la participation des Ecureuils du Bénin aux Coupes d’Afrique des Nations ( Can) de football Tunisie 2004, Ghana 2008 et Angola 2010 et aussi l’organisation au Bénin du Championnat d’Afrique des Nations juniors en 2005 et la qualification dans la même année de la sélection nationale juniors au Mondial juniors Pays-Bas 2005.
Dans ses propos , l’ ex-président de la Fbf n’ a pas manqué d’égratigner le président déchu de la Fbf, Augustin Ahouanvoébla. Selon lui, «quand on est élu président de la Fbf, il faut s’occuper du football. C’est un domaine sensible car il faut du temps pour comprendre beaucoup de chose ». Il n’a pas manqué de préciser que « les Ecureuils, c’est l’affaire de l’Etat béninois. »
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