Bénin : Pascal Irénée Koupaki est le meilleur d’entre tous et le peuple le sait

Il est sans conteste le seul candidat qui inspire confiance, secoue les hésitations et s’élève au-dessus de la mêlée.Le peupleen a la pleine conscience en  dépit de l’argent desmilliardaires qui l’aperturbé et dupé jusqu’alors

Publicité

Les hésitations

La politique telle que pratiquée par nos politiciensa des raisons que, probablement   leur raison elle-même ne s’explique pas. Le peuple, quant à lui,afini par comprendre à sonrythme, il est vrai, que le seul candidat qui fasse l’affaire pour l’élection à venir, c’est  bien Irénée Pascal Koupaki et ce, en dépit de la pluie des billets de banque des milliardaires qui s’abat sur sa tête.A pas comptés, mais surement, une bonne partie de la populationréalise, à présent, que l’argent ne peut acheter sa décision de vote et trouve en Koupaki les repères dont nous lui demandons de convaincre, à la ronde, ceux qui hésitent encore. Mais aussi  ceux qui, ayant fini de consommerl’argent sans lendemain des milliardaires, se croient moralement tenus de leur faire allégeance devant les urnes. Que voit en Koupaki cette population en lutte interne pour se libérer de l’entrave de l’argent et de cette problématique d’allégeance au mal qu’est l’achat des consciences?

Un candidat armé d’une idéologie avant-gardiste

Diriger un pays n’est pas une partie de poker ni une affaire de  fortune personnelle ni de fanfaronnade, ni du m’as-tu vu. Diriger un pays, c’est d’abord avoir les pieds sur terre, une vision  formalisée,une conviction forte et une ligne de conduite;en bref, ce qui est convenu d’appeler, en politique, une idéologie et Koupakien a une qui a pour nom: Nouvelle Conscience. On ne dirige pas un pays au petit bonheur la chance ; on   le fait avec une boussole dans la main. N’eut été la période révolutionnaire,l’idéologie n’aurait jamais trouvé, jusqu’alors, sa place dans l’histoire politique  de notre pays. Mais, et malencontreusement, cette période a été balayée, tout en bloc, sans se soucier de préserver ce qu’elle avait apporté de positif, notamment  l’acquis fondamental qu’il aurait convenu de capitaliser.Cet acquis c’était, le principe même de l’idéologie, quand bien même le libre arbitre permettait d’accepter ou de ne pas accepter de se laisser diriger par le marxisme-léninisme. Mais l’essentiel, c’était le principe de la nécessité d‘une idéologie ; l’idéologie en tant que catalyseur d’un peuple. Et lorsque la Conférence des forces vives de la Nation y avait mis fin, rien n’était venu la remplacer. Koupaki nous ramène un catalyseur ; c’est la Nouvelle Conscience. Nous avons expliqué avec tout le vocabulaire que nous maîtrisons ce qu’est cette Nouvelle Conscience. Nous avons expliqué que ce n’est pas une affaire queKoupaki veut imposer aux autres : nous avons expliqué que ce  n’est pas de la bondieuserie ; même pas un argument de campagne électoral en tant que tel. C’est une méthode de travail, une méthode pour gérer le pays, une philosophie réformiste ; toujours en mouvementet visant continuellement le meilleur en toutes choses et en toutes circonstances. Mais il est vrai qu’il n’y a pas plus sourd que celui qui décide de ne pas entendre.Convenons tout de même que Koupaki a le mérite de rétablir l’idéologie dans la conduite des affaires publiques. J’ai beau tourner mon regard dans tous les sens, je ne vois aucun candidat en lice pour la présidence de la République qui ait cette préoccupation.

Une école pour perpétuer  Nouvelle Conscience .

Lorsque l’on a une conviction politique, l’on  l’assume intégralement en alignement idéologique, méthodologique et stratégique; l’on ne fait pas semblant pour duper le peuple, le temps d’une campagne électorale. On l’implante durablement avec tous les sacrifices que cela entraine.Ce n’est tout de même pas de la gnognote que d’ouvrir une école pour enseigner et pérenniser une idéologie. Et Koupaki a bravé le défi de faire la politique sans une culture d’appartenance idéologique et sans offre d’une éducation civique conséquente. Je sais que d’aucuns diront que tout cela n’est qu’à des fins électoralistes et que cette fameuse école disparaitra une fois l’élection terminée. C’est mal connaitre l‘homme, c’est mal connaître  aussi la détermination sans complaisance de celui qu’il a mis à la tête de cette école, Monsieur Tomety Narcisse Comlan.L’école  de la Nouvelle Conscience enseignera toutes les valeurs citoyennes qui font la fierté d’un peuple, dont la rigueur et la ponctualité, le respect des biens communs, l’intérêt général, mais aussi l’amour du prochain, l’amour de soi-même et l’amour de la patrie,A ce jour, elle a formé, en l’espace d’un an, plus de  huit mille jeunes venant de tous bords sans égard à leur obédience politique.

Publicité

Rigueur et ponctualité

Outre sa méthode qu’est la Nouvelle Conscience, la rigueur est la technique de gestion de Pascal Irénée Koupaki. Mais qu’est donc cette rigueur ?  Du point de vue moral, rigueur est dureté et sévérité, mais du point de vue politique et institutionnel, elle signifie rectitude,  c’est-à-dire  ce qui est conforme à la raison, au droit et au devoir;autrement dit un comportement sain fondé surle respect des valeurs et l’application des textes. Est-il, alors, concevable de diriger,  de manière efficiente, tout un pays sans  rigueur ; en d’autres termes, sans appliquer scrupuleusement, les textes qui le régissent ; sans respecter les procédures établies, sans justice ni équité ; comment donc, si ce n’est finir par laisser s’installer et cautionner le désordre  la gabegie et la prédation préjudiciables  à tous, que rejette, sans appel, Nouvelle Conscience ? Rigueur implique fermeté et fermeté rime avec détermination, responsabilité et souci de l’efficacité. Savoir où l’on va, savoir mettre un pied devant l’autre à bon escient, ne se décider qu’après mure réflexion. Et cela  Koupaki sait le faire ; c’est le genre d’homme qui se  fait fort de son caractère ; et ce n’est pas pour rien qu’il avait été surnommé, le temps jadis, par ses collaborateurs, ‘’Monsieur rigueur’. Au reste, c’est d’abord la rigueur dans la gestion des finances publiques, le  respect strict des accords signés ainsi que des engagements pris qui attirent et sécurisent les investissements étrangers. Tout le reste n’est que vaine littérature.

La ponctualitéest un des corollaires de la rigueur. Sous nos cieux, elle parait encore superfétatoire, mais en fait elle est un paramètre déterminant dans le processus de la  production. Nous ne réalisons  toujours pas encore que le temps ne nous appartient pas et que nous ne pouvons le retenir, ni le gaspiller. Il court et  s’écoule sans que nous puissions avoir prise sur lui ; il ne dépend pas de nous. C’est nous qui devrionscourir après luipour l’utiliser et produire le plus possible. Mais nousprenons nos aises avec lui comme s’il nous appartenait. Lorsqu’une réunion est programmée pour 10 heures  et que nous nous  ramenons à 12 heures ; lorsque le chantier ouvre à 8 heures et que le l’ouvrier se ramène à 9heures pour ensuite se donner le break  et signifier au contremaitre qu’il s’en va prendre son petit déjeuner à 10 heures,  comment voulons-nous que  l’économie progresse  puisque la production  s’en trouve ralentie et qu’elle en pâtit. L’exactitude est une valeur que vise à imposer NouvelleConscience et la meilleure manière d’y parvenir c’est l’exemple depuis le sommet de l’Etat. Et l’on connait la ponctualité communicative de PIK, en toutes circonstances. La ponctualité est si déterminante dans les paramètres de la production qu’à la place du candidat, j’en ferais une promesse de campagne : mettre tout le Benin au pas et à l’heure exacte : l’heure PIK

Il est symptomatique, ainsi que le chiffrent certains chercheurs, que les vols et les pertes de temps en divers occasions coûtent environ 70 milliards de nos francs par an. Que l’on se figure que cette somme, à elle seule, suffirait à régler la crise énergétique dont nous souffrons et à réduire le chômage des jeunes !

Le savoir et le savoir-faire de l’homme dans la gestion des affaires publiques

Pour diriger un pays, il importe d’avoir la capacité effective de le faire et cette  capacité effective ne se trouve pas que dans le savoir mais également et surtout dans le savoir-faire. Et ce savoir-faire ne résulte que de l’expérience effectivement vécue. Plus longue, plus vaste et plus près  du mentor elle aura été, plus susceptible d’efficacité elle sera. Celui qui en aura bénéficié saura déjà ce qui a été bien fait et ce qui l’a été moins. Il saura donc ce qu’il aura à faire avant même de mettre pied  au palais de la Marina. De tous les prétendants aux fonctions de Chef d’Etat, je ne pense pas manquer d’objectivité en affirmant qu’aucun d’eux ne peut se prévaloir de l’expérience deKoupakien matière de gestion de l’Etat. Et cela, le peuple l’admet aisément, nonobstant les milliards qui visent à lui boucher l’entendement.

Certains de bonne, d’autres de mauvaise foi considèrent cette longue expérience de plus de sept ans aux côtés de son mentor comme un handicap à l’ascension de Koupaki vers le palais de la Marina. De deux choses l’une : soit nous voulons un blanc bec au pouvoir en lui donnant un blanc-seing, soit nous voulons un homme d’expérience. Le blanc bec débarquera au palais de la Marina sans savoir-faire en matière de gestion des affaires d’Etat. L’expérience bien comprise implique un recto et un verso ; avoir été en relation avec le bien  comme avec le moins bien autrement elle serait tronquée et ne pourra prétendre être garante d’une bonne gestion du pays.  Déplorer et reprocher à Koupaki d’être resté trop longtemps aux côtés du Président Yayi, est une position politique d’hommes politiques ou de politiciens englués dans les calculs politiques. Prendre en considération l’expérience positive tant bien que négative  acquise  au cours de ces sept années est une position citoyenne ; et nous avons besoin, aujourd’hui, de cette expérience hors pair, autant du bien que du moins bien, pour diriger le pays.

Diriger un pays c’est savoir rassembler et concilier les intérêts

Pascal Irénée Koupaki en a administré la preuve en maintes occasions autant quand il était aux affaires d’Etat que lorsqu’il n’y était plus. Il sait écouterles parties en délicatesse. Il n’est pas homme à parler régionalisme ni privilégier le développement de telle ou telle entité géographique en fonction des critères autres qu’objectifs et des  intérêts de la Nation entière. De commerce courtois et de bonne composition, il est à toute aise avec les divers cultes et croyances.

Diriger unpays c’est en définitive inspirer confiance.

Nous voulons à la tête de l’Etat, un chef calme, pondéré ; se refusant  toute décision hâtive sur laquelle l’on revient par la force des choses entamant ainsi la crédibilité de l’Etat que l’on dirige  et induisant de manière discursive, la suspicion des citoyens. Et cela, nousne l’avons connu que trop, naguère.L’absence de précipitation est l’atout fondamental d’un chef d’Etat. Et nous ne devons jamaisperdrede vue que lorsque nous nous lui accordons nos duffrages , nous élisons d’abord un homme tel qu’il est et que ses qualités morales influeront, sans nul doute, sur sa gestion du pays.

KOUPAKI EST LE MELLEUR DE TOUS ET  CELA NOUS LE SAVONS EN NOTRE AME ET CONSCIENCE. NE LOUPONS PAS LE COCHE AU RISQUE DE FAIRE UN BOND EN ARRIERE D’UN DEMI-SIECLE

Ambassadeur Candide Ahouansou

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité



Publicité