Aujourd’hui, la perte de poids est devenu une obsession pour une bonne partie de la population mondiale. Alimentation saine, pratique sportive, utilisation de médicaments ou de régimes, chacun y va de sa formule.
Pendant ce temps là, on apprend que prendre les transports en commun permettrait de réduire les risques d’obésité.
La mobilité pour lutter contre le surpoids
C’est une récente étude, publiée dans la revue médicale The Lancet : Diabetes and Endocrinology, qui nous apprend que l’utilisation des transports en commun permettrait de réduire les risques d’obésité. Bien sûr, cela permettrait d’aider et non pas de résoudre tous les problèmes de surpoids. Les régimes, les pilules amaigrissantes (Un avis sur le PhenQ à consulter d’ailleurs) et une alimentation saine auront toujours un bel avenir devant eux.
Ainsi, les transports en commun pourrait aider à ne pas entrer dans une phase de surpoids. Effectivement, le principal facteur de l’obésité est aujourd’hui la sédentarité. C’est aussi la 4ème facteur de mortalité au monde, après l’hypertension artérielle, le tabac et le diabète. Ainsi, les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, en Grande-Bretagne, ont étudié l’état de santé et la mobilité de près de 150 000 britanniques afin d’arriver à la conclusion que les transports en commun permettait de prévenir le risque d’obésité.
Cela est on ne peut plus logique. Effectivement, quand on prend le car, le bus ou le métro, on est obligé ensuite de se déplacer à pied pour se rendre à l’arrêt ou à la station, puis au boulot, en course etc. Avec une voiture, cela est tout à fait différent car il est possible de se garer devant son lieu de travail, devant les magasins etc. et la mobilité en est ainsi considérablement réduite, augmentant le risque de surpoids.
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