Au procès de l'ancienne première dame ivoirienne, Simone Gbagbo, de graves accusations ont été portées contre elles par un témoin appelé à la barre. L'homme en question, Moïse Metchro Harold Metch, un ancien chef de milice a déterré l'affaire Guy-André Kiffer, un journaliste franco-canadien porté disparu à l'époque de la présidence de Laurent Gbagbo.
Pour Moïse Metchro Harold Metch, le journaliste ne pourra jamais être retrouvé pour la simple et bonne raison que Mme Gbagbo a ordonné son exécution et son incinération. La tâche aurait même été confiée au colonel Seka Yapo, fidèle parmi les fidèles, et condamné dans l'affaire de l'assassinat du général Gueï. Une accusation grave portée contre l'ex-première dame de Côte d'Ivoire. Bien évidemment, la défense, en réponse, a rejeté ces accusations affirmant que le témoin était un menteur et fournissait des informations erronées.
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Une nouvelle affaire donc, attribuée à l'ancienne première dame qui essaie de prouver son innocence lors de ce nouveau procès. Pour rappel, aucun leader du camp des vainqueurs n'a été jugé, ni en Côte d'Ivoire, ni à la CPI.
