C'est décidément noël avant l'heure pour le régime syrien dirigé par le président Bachar Al Assad. Désavoué en occident, critiqué et attaqué de toutes parts depuis plusieurs années, cette fin d'année semble offrir une lueur pour celui qui a affirmé ne pas vouloir laisser son pays entre les mains de terroristes.
Il faut dire que les nombreuses victimes civiles ne plaident pas en sa faveur. Le président syrien a pourtant pu assister ses derniers mois à un revirement de la situation dans son pays. Tout a commencé avec l'appui russe qui a fortement modifié les projets des groupes rebelles et islamistes.
L'apothéose? L'élection d'un président américain (Donald Trump) qui préfère renforcer le régime syrien plutôt que de soutenir des terroristes (lire ici).
Un nouveau soutien
Mais les soutiens pour Bachar Al Assad n'en finissent plus. Après la Russie, les USA (à demi-mot), c'est au tour de l'Egypte d'apporter son soutien au régime syrien:
«Notre position en Egypte est de respecter la volonté du peuple syrien et qu'une solution politique à la crise syrienne est la meilleure façon de procéder.» a déclaré le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi à une télévision portugaise
Le pays était pourtant jusque-là allié de l'Arabie Saoudite qui s'oppose farouchement à Assad en soutenant certains groupes rebelles.
Il finiront par s’entretué.