Initiée par la commission nationale permanente de concertation et de négociation, cette rencontre qui devrait se tenir cet après midi à Cotonou allait permettre aux travailleurs de dresser au gouvernement le long chapelet des griefs qu’ils ont contre ce dernier.
« Nous avons reçu hier une correspondance de la part du ministre d’Etat, qui est le président de la commission, nous notifiant que pour des raisons d’absence du Chef de l’Etat, en raison aussi des engagements qui le lient, lui qui assure l’intérim ne pourrait pas venir, ces négociations peuvent être reportées » a confié à la presse, le secrétaire général de la Confédération des organisations syndicales indépendantes (Cosi-Bénin), Noel Chadaré.
Initiée par la commission nationale permanente de concertation et de négociation, cette rencontre devrait se tenir cet après midi à Cotonou. Si elle devrait avoir lieu, ladite rencontre allait permettre aux travailleurs de dresser au gouvernement le long chapelet des griefs qu’ils ont contre ce dernier.
Ces griefs aux dires des syndicats sont liés aux libertés et à la cherté de la vie, notamment des situations liées aux agents de la santé, des situations liées aux enseignants, surtout les statuts particuliers et la non prise de certains arrêtés d’application de décrets d’application.
Des sujets qui avaient été évoqués lors de la précédente rencontre avec le chef de l’Etat selon le secrétaire général de la Cosi. Des lois scélérates qu’ils condamnent, ces lois qui, à en croire les propos du syndicaliste, ont été expressément en procédure d’urgence à l’Assemblée nationale.
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