Publié en octobre dernier, « Le Manifeste pour la relève » reçoit satisfecits et félicitations. Beaucoup de ceux qui l’ont lu, apprécient la pertinence de son contenu. Quelques mois seulement après sa publication, « Le manifeste pour la relève » de Moise Kérékou attire vers lui un lectorat de plus en plus dense. Dans un contexte national marqué par la perte des valeurs républicaines, cet essai qui fait un diagnostic précis du mal du pays se positionne comme un ouvrage phare et un guide pour la jeunesse en quête de repères.
Publié en octobre dernier, « Le Manifeste pour la relève » reçoit satisfecits et félicitations. Beaucoup de ceux qui l’ont lu, apprécient la pertinence de son contenu. Œuvre de développement, il aborde entre autres les thèmes de la révision de la constitution, la politique du ventre, la crise sociale, la pauvreté endémique, la corruption notoire, la jalousie suicidaire, bref ce que l’on appelle au Bénin la béninoiserie.
A en croire Moise Kérékou auteur du livre, tels sont les maux qui gangrènent le Bénin d’hier et d’aujourd’hui, et auxquels il entend à travers le Manifeste apporter des solutions. Mieux que les réformes politiques, économiques et structurelles, il estime meilleure et prioritaire la refonte de notre mentalité, car le problème de notre développement à l’en croire demeure essentiellement mental.
En présentant ce diagnostic sur notre situation de sous développement et nos ridicules habitudes qui font obstacles à notre épanouissement, le Manifeste fait effet sur ces lecteurs. Persuadé par la pertinence des thématiques abordées et la perfection de son élaboration, Christophe Dossou Agbodji, un de ses lecteurs, déclare que « c’est le livre qui manquait au répertoire de la littérature africaine ». Car affirme-t-il, son analyse est très impressionnante.
Ce point de vue sur la qualité de l’ouvrage rejoint celui de Charlemagne Degbedji, béninois vivant à Lyon en France, qui le qualifie « d’œuvre complète qui relève les questions structurelles et conjoncturelles qui empêchent le développement de l’Afrique. » Appréciant le Manifeste à son tour, François Bako un autre lecteur, souhaite qu’il soit un document référence pour les acteurs politiques notamment les Chefs d’Etats.
Pour Sam Dalum «les paragraphes du Manifeste pour la relève ne laisseront personne, aucune institution ou nation sérieuse, indifférent.» A en croire tous ces témoignages, ce livre consacrant la vision du Mouvement pour la relève (Mpr) doit être le flambeau de tous les citoyens béninois, notamment les jeunes, car ce sont eux qui constituent la Relève dont parle le Manifeste.
Pour changer véritablement notre mentalité de béninoiserie, c’est sur les jeunes qu’il faut prioritairement agir ; ce sont eux les décideurs de demain. Et si l’on mettait le Manifeste pour la relève au programme scolaire en philosophie ?
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