A l’instar des autres pays du monde la France a elle aussi sacrifié à la tradition ce lundi, au cours de la journée internationale du travail. Une journée marqué par un meeting au cours duquel Emmanuel Macron a encore démontré son attachement à ne pas abandonner son projet de réforme de travail, contrairement à son challenger Le Pen qui ne veut pas le consensus. Emmanuel Macron ne compte pas relâcher. Il s’insurge et pense que le bien être des travailleurs, passe par un consensus et une reforme bien construite. Pendant que Marine Le Pen compte réviser le dispositif sur la pénibilité, Macron lui de son côté envisage négocier avec les syndicalistes. C’est ce qui ce justifie d’ailleurs par l’une de ces affirmations rassurantes.
«Les Françaises et Français se sont exprimés et ont choisi le projet qui portes ses réformes je ne vais pas les trahir en me reniant. Et je veux demain pouvoir agir, être efficace. Donc ces réformes nous les avons conçues portées nous les feront».
Au cours de ce meeting faut –il le rappeler Emmanuel Macron a également promis et démontré tout son engagement à pouvoir rassembler les organisations syndicales autour d’une même table une fois élu à la tête du pays. L’autre combat que pense mener le candidat Emmanuel Macron et qui a été aussi rappelé lors de cette sortie est celui de la concurrence et du manque de bonne foi qui entraîne le désordre total dans les entreprises et les sociétés d’Etat.
Emannuel Macron veux donc en quelques sorte mener une politique de conscientisation et de rassembleur visiblement avec les travailleurs. C’est pour cela qu’il affirme un peu plus loin ‘’la transformation du pays je la mènerai en respectant la part de responsabilité la part de représentation qui est celle de nos organisations syndicales et patronales. Je les recevrai toutes et je concerterai avec toutes’’.
Cette réforme qui vise quelques par à mettre fin aux 35 heures de travail par semaine est soutenu par le politicien Jean- Luc Mélenchon.
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