USA: Seattle en émoi après le meurtre d'une femme enceinte par la police

Seattle est en emoi. Ceci a cause d’une nouvelle affaire qui remet une nouvelle fois sur la table le débat sur la couleur de la peau aux Etats-Unis d’Amérique.Lundi dernier, alors qu’une femme avait averti la police de Seattle au sujet d’un vol, les policiers venus sur place ont tiré lorsqu’ils ont aperçu la femme qui tenait une arme blanche en main.

Les pompiers venus quelques minutes plus tard, ont annoncé le décès de la jeune femme selon une source policière. Un fichier audio dans lequel on entendait les agents interpeller la jeune femme avant de tirer plusieurs coup de feu a été publié.

Enquête ouverte sur les deux agents de la police de Seattle

La jeune femme qui était enceinte de trois mois, était mère de trois enfants. Elle souffrait de maladie mentale selon certains proches. Ses enfants n’ont pas été touchés lors de l’intervention note une source policière. Les investigations ont donc été lancés pour voir clair dans cette affaire qui éclabousse la police de Seattle.

8 réflexions au sujet de “USA: Seattle en émoi après le meurtre d'une femme enceinte par la police”

  1. Ce qui me choque dans ces tragedies, c’est que je n’ai jamais vu une reaction d’un dirigeant d’Afrique noir, d’une haute personnalité noire. Imaginons ces drames passés chez des juif, blanc européens, eux qui sont bien structurés, bien organisés, bien éduqués ! vous verrez les reactions de tous coin du monde affluer ! Nous peuple noir, nous sommes à la merci de tout le monde depuis le XVème siècle. Nous devrons créer une organisation internationale de peuples négroïdes à but non lucratif pour défendre nos intérêts à la manière du congrès mondial du peuple juif

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  2. Un pays ou’ le noir est toujours/encore considere comme un esclave, voire un animal. Les animaux ont parfois plus de droit que le noir dans ces pays du nord, ou’ les animaux ont de assurances maladies et autres, et l’Homme noir (la femme noire y compris) ne peut pas l’avoir.

    Il y un vrai probleme de fond, mais la solutions ne viendra pas de la-bas, elle viendra plus de l’Afrique qui doit propérer, se défendre et se faire respecter sur les plans national et international.

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    • Je fais les mêmes observations en ce qui concerne la situation des africains du sud du Sahara et ceux de la diaspora dans les pays occidentaux. Il y en a cependant qui n’osent pas voir cette réalité.

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