Opinant sur la destitution de Sévérin Adjovi, sur la Béninoise Tv, Henri Agossa, le secrétaire général adjoint de cette municipalité s’est insurgé contre la démarche du préfet. Henri Agossa dit ne pas comprendre la célérité, la brutalité avec laquelle le préfet a en moins d’une semaine réagit à la requête des frondeurs et donner injonction au maire qui était souffrant.
La maladie du maire n’a pas freiné l’ardeur du préfet…
Henri Agossa estime que le préfet a ignoré totalement l’état de santé dégradant du maire (son cœur a voulu lâcher selon Henri Agossa), qui a pourtant brandi les éléments justificatifs de sa mauvaise santé. « En principe, si on doit bien faire, on doit attendre un peu » a signifié le secrétaire. D’un autre côté, il mentionne que la loi donne un délai de quinze (15) jours pour constituer la commission de conciliation. Le maire étant malade, on n’a pas pu le saisir dans les meilleurs délais.
Sévérin Adjovi victime de sa trop grande générosité
Le maire Sévérin Adjovi a été victime de sa trop grande générosité vis-à-vis de certains conseillers frondeurs a indiqué Henri Agossa. Le maire a promu des gens qui se sont retournés contre lui. Des conseillers qui étaient dans l’ombre et qui se sont prosternés presque pour avoir des positionnements.
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