L’écrivain, président du gouvernement des jeunes du Bénin, initiateur du Front de l’opposition radicale (For), a encore été victime d’un cambriolage dans la nuit du lundi 21 août dernier, à hier mardi. « Une moto, un poste téléviseur, un portable, une tablette, et d’importants documents auraient été emportés de cette maison à l’architecture particulièrement sécurisée », a déclaré la victime dans un post. Ce cambriolage est, selon l’écrivain, le sixième en moins de deux ans.
Le dernier lui a valu un séjour de plusieurs mois au Centre national hospitalier universitaire (Cnhu) de Cotonou. C’était une attaque à main armée, au cours de laquelle l’écrivain a écopé d’une fracture du calcanéum, ayant ensuite nécessité une intervention chirurgicale, et entraîné « des séquelles irréversibles à vie ». Cet « énième » cambriolage devrait interpeller les autorités en charge de la sécurité au Bénin.
Puisque le président du gouvernement des jeunes du Bénin semble devenu la cible privilégiée d’individus mal intentionnés. Face à cette menace qui pèse sur l’écrivain, il y a lieu de se demander ce qui fait réellement de lui la victime de ces actes attentatoires à sa sécurité. Aussi, faudra-t-il que des dispositions soient prises afin d’assurer à l’intéressé un minimum de sécurité
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