Le contrôleur général de la police nationale, Prince Alédji, a été reçu dans l’ordre national du mérite du Bénin. La cérémonie de décoration de l’ancien commissaire central de la ville de Porto-Novo, a eu pour cadre les locaux de la chancellerie du Bénin.C’était en présence d’anciens ministres, de directeurs généraux de la police, ambassadeurs… ce jeudi 05 octobre 2017. Prince Alédji, commandeur de l’ordre national du Bénin. C’est le grade auquel la grande chancellerie du Bénin dirigée par madame Koubourath Océni, a élevé le contrôleur général de la police Prince Alédji.
Ancien directeur départemental de la police nationale de l’Ouémé et du Plateau, actuellement agent du système des Nation Unies en mission de maintien de la paix à Gao au Nord Mali. Le commissaire Alédji selon les témoignages de la grande chancelière, a connu un brillant parcours qui en a séduit plus d’un : « Un citoyen méritant prêt à servir ». Un combattant chevronné, dévoué à la cause de la sécurité des citoyens béninois, spécialiste des enquêtes à la police nationale.
Le récipiendaire cumule une grande expérience, le produit de ses trente années de service : « C’est à raison que le président la République a voulu témoigner sa reconnaissance à un cadre émérite qui a travaillé dans le domaine de la sécurité », témoigne Koubourath Océni dans un langage empreint de fraternité. Le général Félix Hessou et le contrôleur général de la police nationale, Marius Hubert Dadjo, au cours de leurs allocutions de circonstance, ont eux aussi reconnu la qualité et le sens du travail bien fait du commissaire Alédji. Félix Hessou, ancien ministre de l’intérieur, a martelé que : « la reconnaissance de l’effort stimule l’effort et fait des émules autours », avant de regretter que ladite cérémonie ne se soit pas déroulée devant une troupe de policiers aux fins de les inciter à mieux faire.
Plaidoyer pour la reconnaissance
Prenant la parole, le récipiendaire après avoir remercié la hiérarchie et le chef de l’Etat pour les actes de reconnaissance à son endroit, n’a pas manqué de plaider pour ses autres camarades et amis, agents de l’Etat : « … il y a beaucoup d’entre vous qui méritent cette reconnaissance pour les services rendus à la nation, comme moi, et qui sont restés dans le total oubli par le fait de leur administration, ou pour d’autres raisons ». Il a invité la hiérarchie policière à instruire les jeunes policiers à aller puiser à la source des anciens
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