Concurrents piégés, persécutés et écartés. Appel d’offres pour les intrants taillés sur mesure et gagnés par la même société, sabotages des rares usines des concurrents. Tel est le visage présenté actuellement par la filière coton.
Depuis avril 2016, on assiste progressivement au retour du monopole du privé dans la filière coton, avec les sociétés et entreprises appartenant à Patrice Talon. Le rachat de l’usine d’égrenage de Nikki appartenant jadis à Martin Rodriguez, en est une parfaite illustration.
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