Tension au Kenya : Human right watch critique le gouvernement

Il y a eu au Kenya une escalade de violence avec caporalisation des organes de presse. Toutes choses que fustige Human right watch. A l’origine de cette régression notoire des droits des citoyens, la cérémonie d’investiture de l’opposant Raila Odinga comme « président du peuple ». Une bonne partie de la presse kényane est sur la sellette : leur tort est de vouloir retransmettre en direct la cérémonie d’investiture de l’opposant Raila Odinga.

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Une décision du pouvoir de Nairobi défiée par des chaînes d’information privées du pays. Un blocage assimilable à un musellement, fortement condamné par l’organisation Human right watch. Une organisation qui s’est donnée pour mission de défendre les droits de l’homme et le respect de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Cette organisation déclare militer notamment pour la liberté de la presse, l’abolition de la peine de mort et de la torture mais aussi pour le respect de l’ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels, en particulier dans les domaines de l’éducation et du logement.

Le Kenya serait un mauvais élève en matière de respect des droits de l’homme ont fustigé les responsables de l’institution. Toute chose renforcée par l’interdiction de ce mardi. En dehors d’eux, des blogueurs et autres activistes ont pris d’assaut les réseaux sociaux pour dénoncer ce recul des libertés.

Malgré les gesticulations du gouvernement Kenyatta, Raila Odinga a prêté serment mardi comme président du peuple.

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