Crise sociale au Bénin : Les trois exigences de la CGTB au gouvernement

La situation actuelle des travailleurs est devenue une préoccupation nationale et tient à cœur aux confédérations et centrales syndicales. La Cgtb a énuméré 3 points qui lui tient à cœur.Premièrement l’arrêt de l’infantilisation et de la diabolisation des travailleurs en général et des enseignants en particulier. Deuxièmement, la rétrocession sans délai, des fonds illégalement défalqués et le paiement intégral et immédiat des salaires des enseignants.

Et enfin,  la réouverture des discussions avec les Centrales et confédérations en vue de la satisfaction des légitimes revendications, objet de motion de grève. C’est en effet ce qui ressort de la déclaration de la Confédération générale des travailleurs du Bénin. La Cgtb fait remarquer que le gouvernement du nouveau départ a fait l’option de la  mise à sac des textes et lois de la République.

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La Confédération Générale des Travailleurs du Bénin, félicite les travailleurs en lutte, en général et les enseignants en particulier, pour le respect scrupuleux du mot d’ordre et leur détermination pour la satisfaction de leurs légitimes revendications, malgré les diverses intimidations et brimades de tous genres.

Munitions: cette armée européenne en situation difficile 

9 réponses

  1. Avatar de Ismafiz Hafiz IMOROU
    Ismafiz Hafiz IMOROU

    Nous les élèves des écoles publiques nous en avons mal de ces moments de grève au Bénin . Si l’année scolaire va jusqu’à être blanche qu’à nous devenir .Je pris les dirigeants du pays à mieux réfléchir.

  2. Avatar de Ibsero
    Ibsero

    Bravo les travailleurs

  3. Avatar de Napoléon1
    Napoléon1

    Si nous voulons que les principes de l’Etat de droit et de la démocratie restent ancrés dans nos Esprits et dans nos Coeurs, nous aurions tort de ne pas écourter le Mandat d’un président qui se met au-dessus des lois, foule au pied les décisions de la Cour constitutionnelle, entretient la Division et met à mal la cohésion nationale, comme Talon le fait jusqu’á ce jour.

    1. Avatar de Abdou Nasser
      Abdou Nasser

      Si vous estimez avoir des droits attendez vous a des devoirs. Vous avez le droit de ne pas travailler parce que en grève, ne vous attendez pas a recevoir un salaire non dû svp.

  4. Avatar de Sonagnon
    Sonagnon

    Le gouvernement initiateur de la loi liberticide qui est à l »origine du début des mouvements de grève devrait éviter la nouvelle provocation qui consiste à faire des prélèvements sur salaire pour fait de grève.

    Le mouvement de grève doit s’amplifier et se généraliser pour faire comprendre à Patrice TALON, qu’il n’a encore rien compris du peuple qu’il sert.

    Et c’est heureux, qu’en 2018 les contestations se succèdent, c’est donc les préparatifs pour les législatives de l’année prochaine. Des élections au terme desquelles l’opposition devra prendre le contrôle du parlement avec pour conséquence la mise en accusation de Patrice TALON et la fin de la politique de la ruse et de la rage.

    1. Avatar de Abdou Nasser
      Abdou Nasser

      Comme a dit l’autre, il est permis de péter par la bouche.

  5. Avatar de DODJIVI
    DODJIVI

    Vous estimez legitime de poursuivre les greves, vous devriez prendre les dispositions pour payer les salaires de vos adhérents. C’est ce qui se fait dans les democraties que vous singez maladroitement.Dans ces pays, les centrales syndicales se constituent des trésors de guerre qui leur permettent de compenser les desfalcations inévitables des salaires… Car, on ne peut vouloir une chose et son contraire à la fois…le beurre, l’argent du beurre et la bergère en sus… Quel pays pauvre peut émerger en sacralisant la grève au détriment du travail?? Nous mourrons tous dans la pauvreté et la misère…

    1. Avatar de Abdou Nasser
      Abdou Nasser

      Bien dit. Sans commentaire.

  6. Avatar de ALLOMANN
    ALLOMANN

    Si vous estimez legitime de poursuivre les greves, vous devriez prendre les dispositions pour payer les salaires de vos adhérents. C’est ce qui se fait dans les democraties que vous singez maladroitement.Dans ces pays, les centrales syndicales se constituent des trésors de guerre qui leur permettent de compenser les desfalcations inévitables des salaires… Car, on ne peut vouloir une chose et son contraire à la fois…le beurre, l’argent du beurre et la bergère en sus… Quel pays pauvre peut émerger en sacralisant la grève au détriment du travail?? Nous mourrons tous dans la pauvreté et la misère…

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