La décision de la cour constitutionnelle sur l’affaire-Cnss (Caisse nationale de sécurité sociale), condamnant le procureur de la République et le compte rendu du conseil des ministres du 02 novembre 2017, est la preuve que Laurent Mètongnon et ses co-accusés végètent en prison sur la base d’un faux rapport. C’est une injustice criante que la haute juridiction a relevée.
« Qui veut noyer son chien, l’accuse de rage ». C’est ce que l’on constate avec l’emprisonnement du syndicaliste Laurent Mètongnon, à la lecture de la décision de la cour constitutionnelle condamnant le procureur de la République, Gilbert Togbonon, et le conseil des ministres du 02 novembre 2017, sur la question. Leur séjour en prison résulte d’un acharnement gratuit, parce que Laurent Mètongnon est forcément un élément gênant pour les nouveaux princes de la République. Ainsi, un rapport dit d’une commission de l’Union monétaire ouest-africaine (Umoa), a servi de support pour l’accabler et le jeter à tout prix en prison. Et pour cause !
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