Le regain d’intérêt observé au niveau du gouvernement, ces derniers jours, au sujet de la construction du siège du parlement du gouvernement, a quelque chose d’intriguant. Lorsqu’on analyse les communications présentées au parlement lundi dernier à ce sujet, l’argumentaire servi et la propagande qui a suivi, on peut croire à une politisation à outrance du dossier.
Contrairement aux autres dossiers de malversation économique agités par le gouvernement, celui du siège de l’Assemblée nationale a connu un traitement particulier. On n’a pas eu droit au procès fait dans le communiqué du conseil des ministres, ni aux convocations à la Brigade économique et financière (Bef), suivis d’arrestations, de présentations au procureur de la république et de détentions préventives.
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