le » Marteau » du FN, ancien parachutiste de l’armée française ayant participé à la guerre d’Algérie, Jean-marie Le Pen dénonce à ce propos les décisions du président Macron.Après plusieurs mois de réflexion, le chef de l’Etat a décidé de reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans la mort de Maurice Audin, ce mathématicien communiste, militant de l’indépendance de l’Algérie, arrêté le 11 juin 1957 en pleine bataille d’Alger, torturé par l’armée française et disparu sans laisser de traces.
Le chef de l’Etat, dont les contacts avec la famille Audin remontent à la campagne de 2017, a ménagé l’effet de surprise pour ce « pardon » adressé à la veuve de Audin.
Dans une déclaration écrite remise à Josette Audin et à son fils Pierre, Macron évoque « les pouvoirs spéciaux » de la police française d’alors qui a fait le lit à certaines dérives, telle la torture.
De la poudre aux yeux selon Jean-Marie Le Pen, parti d’extrême droite, qui dénonce une tentative du président Macron de diviser l’opinion nationale. Pour Jean-marie Le Pen , figure emblématique du FN et ancien président, si Audin n’était lui-même pas un terroriste, il en a aidé et ne mérite donc pas, pour ce fait, autant d’égards.
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