Greffe de foie : Eric Abidal évite de justesse une enquête

Après sa transplantation, en 2012, l’international footballeur Eric Abidal a eu maille à partir avec la justice espagnole, mais La greffe de foie « a eu lieu conformément à la loi en vigueur et aux bonnes pratiques cliniques », a indiqué un communiqué de l’organe du ministère espagnol de la Santé chargé de surveiller le don d’organes. Pas sûr, rétorque le parquet espagnol.Les procureurs espagnols enverront donc en juillet une demande écrite demandant que l’enquête sur « l’affaire Abidal » soit reconduite, car de source d’un quotidien national, des écoutes téléphoniques provenant d’une enquête de corruption impliquant Sandro Rosell, alors président de FC Barcelone, ont indiqué que le club aurait pu se procurer illégalement le nouveau foie qu’Abidal, ancien international français, avait reçu en avril 2012.

Le tribunal de Barcelone qui avait déclaré avoir enquêté sur un possible crime de trafic d’organes pendant plus d’un an avant de décider de ne pas poursuivre, faute de preuves ; juge la requête irrecevable car « aucune nouvelle preuve n’indiquait la nécessité de rouvrir le dossier ». Etant également entendu que le donneur, cousin du joueur, est français et donc ne peut être entendu comme témoin à charge ou à décharge ; puisque la loi en France n’incriminait pas les « vendeurs d’organes » Et Andres Maluenda, l’avocat de Sandro Rosell d’ajouter ; « Une fuite dans la presse n’est pas une raison suffisante pour rouvrir une enquête close, bien que les dommages causés à la personne et à l’institution soient déjà faits».

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