Bénin : Descente du vice-premier ministre belge au Port Autonome de Cotonou

Photo unsplash

Le Port Autonome de Cotonou a reçu ce jeudi matin, la visite d’Alexander de Croo, vice premier ministre Belge. L’autorité a eu une séance de travail avec le Directeur général et le personnel administratif. Il a ensuite visité les installations de la société. Alexander de Croo, le vice- premier ministre belge s’est rendu au Port Autonome de Cotonou ce matin. Il s’est entretenu avec le  directeur de la structure, Joris Thys et le personnel administratif.  Pendant cette entrevue, le patron du port de Cotonou a exposé les objectifs visés par le partenariat entre le Port d’Anvers International et le Port béninois. Il a aussi levé un coin de voile sur les  projets prioritaires du plan d’investissements. Après cette séance de travail, Alexander de Croo a visité les installations  de la plateforme portuaire.

Le port se porte bien

La visite du vice-premier ministre belge intervient dans un contexte tendu. La direction générale veut procéder à un licenciement collectif du personnel. Cette décision fait grincer des dents dans les rangs des concernés. Le Syndicat national des Travailleurs du Port Autonome de Cotonou a tenu une Assemblée générale extraordinaire sur le sujet  hier jeudi 28 novembre. Selon les leaders de ce mouvement syndical, le port se porte bien et ne connaît aucun problème. Dans ce contexte, un licenciement massif du personnel vient mal à propos.

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2 réponses

  1. Avatar de Napoléon1
    Napoléon1

    Dans cette affaire du port autonome de Cotonou qui serait géré par une équipe belge émanant du port d’Anverpe en Belgique, il y a eu trop de manipulations depuis le commencement. D’abord la géo-localisation du port d’Anvers n’est pas comparable à la situation géographique du port de Cotonou. Souvenons-nous de tout ce qui avait été dit lors de la rencontre de Patrice Talon avec les travailleurs du port de Cotonou. Talon précisait justement que cette gestion des belges était une prestation de service avec cahiers de charges pour une courte durée pendant laquelle la performance du port autonome de Cotonou sera boustée. Les travailleurs ne devraient pas s’inquiéter, car tous leurs intérêts sont prises en considération.

    Mais voilà que depuis plus d’un an de gestion des belges, la plupart des navires ont boycotté Cotonou pour préférer s’échouer au Port-Hacout et Lagos au Nigeria, à Lomé au Togo et à Accra et Abijan au Ghana et en Côte d’ivoire. On peine à comprendre ls spécificité des belges alors incapables de prévoir cette tournure et d’y remédier. Et chaque fois comme à l’habitude de Talon, à l’absence de performance annoncée et souhaitée à cors et à cris, la seule ruse conciste à créer de nouvelles taxes ou à procéder à des licensements en masse des travailleurs béninois. Comme si ceux-là qu’on a l’habitude sous l’ére Talon de jeter pêle-mêle dans la rue ne sont pas aussi des béninois qui ont droit au travail pour pouvoir vivre et entretenir les familles à leur charge.

    Maintenant que la solution au port de Cotonou esttrouvée comme licensement collectif du personnel, c’est le moment de demander aux travailleurs la garantie qu’ils ont pu obtenir auprès des belges au départ, puisqu’on leur avait bien déclaré que tous leurs intérêts seraient pris en considération. C’est lieu de confronter Talon et ses collaborateurs belges avec cette délaration. Et d’insister haut et fort que l’on ne saurait assainir un pays comme une entreprise privée. Talon est élu pour créer la richesse et non la faim et la précarité aux population. Et qaue vient chercher le Vice-Premier Ministre belge dans cette affaireaffaire?

  2. Avatar de Tchité
    Tchité

    Yeman nan kere nan min. Comme vous ne voulez pas que vos frères Beninois mangent, voyo va manger et vous insulter en plus.

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