Dans le monde, le taux de fécondité a tendance à baisser un peu partout, sauf du côté du continent africain où les chiffres restent relativement importants.Dans le monde, les taux de fécondité ont tendance à diminuer un peu partout, sauf du côté de l’Afrique où ces derniers restent exceptionnellement hauts. Le Niger restant d’ailleurs le pays ayant le taux de fécondité le plus élevé au monde. Un constat qui pousse de nombreux scientifiques à se poser la question du renouvellement de la population.
Le taux de fécondité divisé par 2 depuis 1950
Une récente étude menée par le journal The Lancet tend effectivement à prouver que les taux de fécondité ont diminué un peu partout dans le monde, sauf sur le continent africain. Dans les chiffres, en l’espace de 60 ans, le nombre d’enfants par femme a été divisé par près de 2, avec 4,7 enfants par femme en 1950, contre 2,4 l’an dernier.
Le Niger reste numéro 1 en matière de fécondité
Toutefois, les chiffres varient d’un pays à un autre. En effet, au Royaume-Uni, une femme aura en moyenne 1,7 enfant, contre 7,1 au Niger. D’ailleurs, sur les dix premiers pays ayant le taux de fécondité le plus élevé au monde, neuf sont d’Afrique. Une constatation qui pousse d’ailleurs les experts à se poser certaines questions, notamment en matière d’immigration.
La raison ? Dans la plupart des pays développés, le nombre de naissances est largement insuffisant afin de garantir et maintenir la taille de la population actuelle au risque de faire face à un vieillissement et à une diminution des populations.
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