Les gilets jaunes attaquent la police française suite aux violences dont certains manifestants ont été victimes. L’Inspection générale de la police nationale a notamment ouvert près de 50 enquêtes pour faire la lumière sur les soupçons de violence qui pèsent sur certains agents de Police. Le mouvement des gilets jaunes aura le mérite de faire parler de lui longtemps en France. Ce mouvement de protestation après avoir secoué les politiques au plus haut niveau, pourrait bien secouer violemment la police française. En effet, près de 50 enquêtes ont été diligentées pour voir claire dans la manière dont les forces de polices ont géré les heurts depuis le début de cette crise sociale. Le mouvement démarré depuis la deuxième moitié du dernier trimestre de l’année 2018, beaucoup de plaintes ont été enregistrées contre la police. Ces plaintes sont pour la plupart relatives aux violences dont certains manifestants se sont dits victimes. L’usage des grenades lacrymogènes et autres pour disperser les manifestants auraient blessé plusieurs acteurs de ce mouvement de protestation. Des gilets jaunes ont notamment déposé des plaintes affirmant avoir été « blessés » ou « mutilés » par des tirs de grenade lors des manifestations du 24 novembre et du 1er décembre à Paris. Les avocats de ses gilets jaunes par le biais d’un communiqué avait même fait savoir que « L’usage de ces armes contenant des explosifs qui a causé de très nombreuses blessures par le passé sera également dénoncé afin d’obtenir du gouvernement qu’elles soient retirées de l’arsenal du maintien de l’ordre ».
L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) entame ces investigations pour situer les responsabilités par rapport à cette situation et si possible passer à une sanction à tous les agents qui se seraient illustrés comme coupable d’acte de violence sur les manifestants.
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